BONNE LECTURE
Marie
J'étais entrain de faire cours dans notre classe, nous étions dans une classe de troisième pour aujourd'hui. Je suis un élève de la 5eme par contre mais nous n'avons pas de classe fixe, en général dans notre école les classe de 5eA sont des classe nomades(donc des déplacements continuels)
Bref, comme je le soulignais a l'instant, j'étais en plein cours lorsque Rokhaya la fille qui s'asseoie toujours à côté de la fenêtre m'interpelle.- Lahilaaaa, Marie j'ai l'impression que c'est ta grande sœur qui a piqué une crise tay.
Je lui lance juste un regard incrédule, elle raconte sûrement n'importe quoi, lolou meunta nek. Lolou ça ne lui ai jamais arrivé.
Le prof: Rokhaya Seck vient t'asseoir devant et arrête de toujours regarder dehors , le cours se passe ici et non là-bas. Dit le professeur pour l'inciter à suivre le cour.
Rokhaya : ok, mais bilay c'est sa sœur, sa mag bi mo danou, je l'ai vu bilay.
La mon sang se glace, j'étais resté figé un instant, puis je suis sorti de la classe, je n'ai meme pas écouté le prof et direction leurs classe, mais je ne la trouve pas.
Moi: ou est Sala.
Une fille: on viens de le transporter à l'hôpital, t'inquiète Matar la raccompagner.
Je me retourner puis suis sorti de l'école, direction l'hôpital.
Alors j'ai attendu jusqu'àaaa 1h de temps s'était écoulé mais je ne la retrouve pas. Mais kone c'est quel hôpital.
Une infirmière à l'accueil m'interpelle et me dis ceci: en général le docteur suggère à l'école si c'est des cas de crises comme rab, de ne pas les amener ici, parce qu'il ne peut rien pour elles.
Moi: hay rab, ma sœur n'as pas ça enfaite. Fallait juste la consulter pour voir.
Elle: humm je ne sais pas moi, rentre chez toi, je pense qu'elle y est .
Je suis alors rentré chez moi. Et effectivement elle y était mais je l'ai trouvé allongé.
Je suis resté là, à la fixer de loin, pour connaître réellement ce qu'elle a. Je ne pouvais pas croire à ce que disait ma camarade Rokhaya
Maman: jeune fille, kaye . Me suchota maman qui est arrivée juste derrière moi. Je suppose c'est pour éviter de la réveiller.
Alors je la suivie.
Maman,: t'étais sensé descendre à l'heure là..?
Moi: yaye Sala qu'est-ce que... qu'est-ce qu'elle à?
Maman: elle n'as rien, rassure toi
Je savais pertinemment qu'elle ne me disait pas la vérité. Je ne comprenait pas pourquoi elle nous cacher toujours tout comme si nous étions des enfants.
Moi: yaye je suis plus une petite fille, et jai le droit de savoir, dafa febar wala?
Maman : oui d'après ce que sa camarade a dit. Nena juste elle s'était évanoui, lolou c'est peut-etre juste liée à la fatigue
Moi: Yaye tu pense? A l'école il ya beaucoup de cas de se genre, jai peur deh!
Maman : tu n'as pas de quoi avoir peur, tu verra qu'elle ira mieux. Je ne vois pas elle aurai pu avoir ça. Vous êtes toujours à la maison, dokholene goudi donc, pense même pas à ça.
Juste lâchez pas la prière. En parlant de prière, vous n'avez toujours pas songer à mettre le voile comme votre petite sœur.Moi: commencé tina nak, yaye nous sommes jeunes, se voiler maintenant mom on nous prendra pour des vielle filles.
Maman: n'importe quoi, arrête moi ces bêtises là wakh.
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NITT
HorrorLa vie de Sala, -Pauvre de toi Sala... tu ne ressemble désormais à rien hahahaaaaa...ha.ha.ha haha OBJECTIF ATTEINT ! fallait pas me défier enfaite. A mainte reprises je t'ai montré ma puissance, n'empêche tu as voulu joué la dure. Moi: tu me veux...