chapitre 5 : vie de chien, vie de merde

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Les cris de terreurs, les flammes brûlant et la fumée ardente remplissaient l'atmosphère autrefois paisible. Les pompiers se battaient contre le fléau et secouraient les derniers survivants. Dire que tout ça était la faute d'une certaine personne.

L'un d'entre eux remarqua une silhouette se dessiner dans l'incendie. Dans une action de peur, il pointa son extincteur contre le gars, alertant les autres. Le capitaine du groupe leva sa main en guise d'arrêt.

La personne se rapprocha, devenant de plus en plus visible. Elle marchait d'une manière étrange car son corps basculait, comme si à tout moment il allait tomber. Ses habits ainsi qu'une bonne partit de sa peau avaient brûlé. Son visage avait fondu, laissant voir se qu'il a en dessous de sa chair. Ses cheveux avaient été rongés par les flammes, laissant un crâne chauve pas aussi lisse que celui de ton père le chauve.

Les héros se tinrent immobile, alors qu'ils firent de leur mieux pour comprendre se qui se passait. Cette chose était tellement immonde et monstrueuse qu'ils se demandaient si c'était vraiment humain.

Mais si c'était le cas, cela leur paraissaient improbable qu'il aie réussi à les rejoindre sans qu'ils ne le remarquent avant. Surtout sans masque à gaz, et sans protection contre le feu. Cette homme devait avoir une écrasante volonté de vivre.

Le meneur se rapprocha de la victime, il était assez méfiant et craintif. Les deux se fixèrent, avant que le brûlé ne s'écroule. L'autre homme le rattrapa avant qu'il ne touche le sol, il vérifia son pouls et sa respiration.

- Emmenez le à l'hôpital, il est dans un grave état, ordonna-t-il aux ambulanciers.

Ces derniers se lancèrent un regard, comme pour se demander si c'était une bonne idée. Finalement, ils acceptèrent, ignorant leur peur.

Pendant que les soignants prenaient en charge l'individue, le pompier put l'entendre souffler quelque chose :

- Que les chasseurs... te poursuivent..., que les humains... te brûlent... bestiole du diable...

À ce moment là, il était confus. Qui est-ce qu'il maudissait ? Sûrement pas une personne. Peut-être un animal ? Mais dans son souvenir le plus lointain, il ne se souvenait pas d'avoir entendu parler d'un animal capable de cracher du feu. Hormis les dragons, pourtant ça l'étonnerait beaucoup que cette homme en aie croisé un.

Cependant une chose était sûre, c'est que si cette incendie n'était pas naturelle, il fallait à tout pris exterminer cette chose qui la causé.

. . .

T/p regardait le bol de croquettes devant elle, un terrible dégoût jonchant dans son corps. Elle n'allait quand même pas manger de la nourriture pour chien ? Elle détestait déjà sa vie ici après 4 jours à être arrivée dans ce monde.

- どうしたの、ハチ公?食べ物があなたの口に合いませんか?, demanda Oscard préoccupé par son altitude.

La louve resta silencieuse devant ces paroles, avant de les deviner.

- Bien sûr que non la nourriture ne me va pas ! Je suis pas un clébard !, elle rongea sa joue avec fureur.

Le majordome se débâtit pour enlever la réincarnée de son visage. Apparemment, il ne voulait pas devenir comme Cœur blanc.

Une fois que t/p se calma, l'homme regarda l'ancienne humaine, puis la gamelle. Il leva un doigt, semblant comprendre ce qui n'allait pas. La canidé l'observa partir dans la cuisine. Il revint ensuite avec quelque chose en plus, qu'elle espérait être de la viande.

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⏰ Dernière mise à jour : 4 days ago ⏰

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