J'ai une grande affection pour les personnes qui hurlent en silence, dont le sourire, quasi parfait, cache une cicatrice brûlante. J'admire ces gens-là parce qu'ils ont, sans le vouloir, l'intelligence de ne pas transmettre à l'autre la démance du chagrin, parce qu'ils ont l'élégance de le garder pour soi.