CHAPITRE 48 - Provocation charnelle

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Mon cousin s'exécute.

Il dirige son gland chaud, couvert de cette fine pellicule en latex, en direction de mes lèvres, qu'il écarte en effectuant quelques mouvements rotatifs avec son membre. Il en profite pour le laisser caresser mon clitoris déjà gonflé à bloc. Mes jambes en tremblent de confusion.

Je geins contre le gland de Sandro qui frappe encore contre mes parois buccales. Je n'en peux plus. La chaleur envahit tout mon être, au point que je sente la sueur parcourir mes tempes. C'est ce qu'on appelle "être en transe". Je le suis. Je me perds petit à petit dans le chagrin de mon enveloppe charnelle qui perd patience. Puis, enfin et en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, Daniele passe la barrière de mes lèvres et pénètre dans mon vagin, étirant sensuellement mes plis.

— Anh ! Me surprends-je à crier en étirant davantage les lèvres pour que ma voix puisse s'échapper entre les couches d'épiderme de Sandro.

— Shhht... Me sermonne Daniele, bien conscient que, même si Armando n'est pas là, nous ne sommes pas seuls dans cette baraque.

Si je gémis déjà, qu'est-ce que ce sera plus tard...

Une explosion de saveur.

L'Apocalypse.

Oui, la fin du monde.

Et pour cause, Daniele continue de me remplir, jusqu'à ce que son pubis parfaitement rasé et aussi doux que du coton entre en contact avec la peau de mon fessier. Je frissonne de bonheur, laissant une ribambelle de chair de poule se répandre sur chaque parcelle de mon enveloppe charnelle. Il a étiré mes plis trempés avec une telle délicatesse que je me sens dès à présent prête à recevoir sa passion de plein fouet. Au moment où je fronce les sourcils rien qu'à cette pensée, c'est Sandro qui prend la parole à ma place :

— Vas-y plus fort, ordonne-t-il à son petit frère, lui qui a certainement perçu le désir dans mon regard enflammé.

Il est capable de tout deviner, mais ces paroles étranges continuent de raisonner dans ma tête. Je devrais trouver cela macabre. Pourtant, il n'existe selon moi aucune situation plus intense et réconfortante que celle-ci.

Seulement, il manquerait une personne.

Une seule.

Les coups de hanches de Daniele interrompent rapidement mes pensées pour me transformer en bulle de plaisir à l'état brut. Je me bats contre mes cordes vocales qui meurent d'envie de s'exprimer. Tout s'intensifie, jusqu'au moment où Sandro retire son pénis de ma bouche, m'abandonnant aux mains expertes de Daniele. Il me contourne, tandis que le jeune frère m'interpelle :

— Fais-moi l'amour.

Il ne faut pas me le demander deux fois pour que je me décale et laisse la place à Daniele sur le matelas. Ce dernier s'allonge et me tend les bras. Je grimpe au-dessus de lui en passant ma jambe droite par-dessus son corps massif. Une fois bien installée, je place une main entre mes cuisses et saisis moi-même son membre en le maintenant à la base, pour l'enfouir en moi d'une seule traite. Je m'assieds alors complètement sur lui, en laissant son gland frapper délicieusement contre mon col déjà ensuqué.

— T'aimes ça ?

— C'est tellement bon, Daniele... Geins-je.

Rapidement, je me cambre et relève la tête en direction du plafond blanc. Puis, je clos les paupières pour ressentir encore plus intensément ce qu'il me donne. Ses mains s'attellent à caresser mes seins. Il les attrape férocement. Il les malaxe. Parfois même, il me contraint de me pencher dans sa direction pour attraper mes mamelons entre ses lèvres et les mordiller. C'est une extase sans nom. Mes coups de hanches s'intensifient, et même si c'est la première fois que je dirige les opérations, je me sens parfaitement à l'aise et parfaitement à ma place.

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