Dans l'étreinte d'un drap qui sent la Soupline
Sur mon matelas tout propre s'en va mon spleen
J'attrape mon oreiller et ne le lâche plus
Oubliant les moments qui ne m'ont pas plu
Rêvant du lendemain où longtemps il aura plu
Des étoiles et des sentiers de calme
Dans mes songes où se repose mon âme
Contraste réalité où je ne me sens pas à ma place
Dans mon lit, je m'allonge, tout las
Jusqu'à ce que le marchand de sable m'enlace
Varek