Quand tout commence par des cris

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Clarke Griffin

... : ça va clarke ? Entend-je derrière moi

J'avais peut être mal au yeux, un mal de crane à vous en taper la tête sur la table et c'était justifier, je venais de l'espace et on venait de traverser l'atmosphère mais j'aurais reconnu cette voix entre mille.

Clarke : Ne me parle pas tu as perdu le droit de me parler, tu as fait un choix assume-le et tu en connaissait les conséquences.

Wells : S'ils te . . .

Clarke : Wells tu l'as ferme ou je te jure que lorsque j'aurais la capacité de bouger mon cul de se siège je t'envoie contre la paroi de la navette, compris ?

Perdant, il se terre dans son siège une bonne fois pour toute me laissant quelques minutes de paix avant que l'inévitable se produise. Une secousse se fit ressentir et puis BOUM.. Oh mon dieu, je suis sur terre. Je détacha ma ceinture de sécurité et puis j'observe la panique gagner le visage de mes compagnons de fortune. Je me dirigea vers la porte le plus vite possible pour calmer la panique général quand quelqu'un prononça mon nom ( sérieusement en plus d'un voyage sur terre j'ai aussi H à gèrer?)

Mes parents, Abby et Jack Griffin , membre du conseil de l'arche et très attaché à leur rang, on préparait mon mariage depuis que j'ai l'âge de 12 ans . Je n'ai jamais eu de relation normal à cause de ça, quelles soit amoureuses ou amicales, mes relations avec les autres êtres-humains n'existaient pas.

H, je le voyais lors des réceptions officiels, nous étions une vitrine, nos parents nous exposaient devant tous l'arche prônant que nous étions le prochain couple de chancelier," je ne l'aimais l'aime et ne l'aimerai" voilà ce que j'étais censé faire.

Clarke :  H mais.. mais ..qu'es ce que, pourquoi est tu là ?

H : je ne supportais pas que tu affronte la terre seule, une femme aussi fragile que toi. Maintenant je suis là, n'est plus peur

Clarke : oh génial, H j'en suis ravis dis-je d'un ton très peux convaincant 

Je continua ma course vers la porte de sortie m'attendent à tous mais certainement pas à un garde, portant le "tablier" habituel, boots - pantalon treillis et une belle gueule de con avec son arme sortant de son pantalon au lieu d'être ranger.

... : cette putain de porte s'ouvre comment ?

Quel langage fleurie...

Clarke : Surtout pas, grosse tête , si la terre est encore radioactive dès quelle s'ouvrira on sera tous morts l'arrête-je.

... : Ah oui et alors on fait quoi princesse. On reste ici et on se fait des tresses ...

Clarke : Non grosse tête, pour l'instant je n'en sais rien mais si tu ouvres cette porte tu vas nous tuer.

À peine eus-je terminer que : 

... : My Fucking Wife

Je me retourna et vit :

Clarke : Octavia !! hurle-je (même l'arche m'a entendue)

J'avais connu octavia en détention, elle m'avait raconter son histoire et je lui ai raconté la mienne. Aujourd'hui elle était concrètement la seule personne à qui je fais confiance.

... : Octavia dit très faiblement la grosse tête

octavia : Bellamy !

Bellamy : O', ma petite soeur.

À ces mots tout le monde compris, en vérité, octavia est une légende. Nous avions tous entendu parler de ce petit bébé, cette petite fille obliger de vivre sous un plancher à cause de la politique de l'enfant unique sur l'arche. Les messes basses eurent le don d'énerver O'.

Bellamy : Octavia, calme toi. Montre leur que tu es plus que toutes ces histoires de merde .

octavia : ... si ta une idée de génie ...

Bellamy : La première à posait un pied sur terre depuis un siècle ?

Bellamy trouva le dévéroullieur et la navette s'ouvrit sur une magnifique verdure. Elle s'avance et mis le pied à terre, après quelque seconde elle se mis à sauter dans tous les sens en hurlant.

Octavia : ON EST DE RETOUR, SALOPARD !

Tout le monde sortie de la navette en courant .

Et tout les prisonniers crièrent :

the 100 : On est sur terre, Connard.


Marine Marie

Clarke et BellamyOù les histoires vivent. Découvrez maintenant