~The Toxic black love ~

3. Yeux dans les yeux

LOS ANGELES 20h36 ; Family'house

                                   
                                                  ♤SORAYA♤

Assise sur un fauteuil en plein milieu d'une discussion avec plusieurs hommes que je connaissaient bien sur absolument pas ,j'écoutais d'une seule oreille se que mon père disait, cette soirée s'annonçait plus ennuyante que jamais, pas de drame pas de bagarre ou de bien pleure

Mes yeux parcoururent la pièce et tous les visages qui y étaient présents jusqu'à se que mon regard capte une paire de yeux de couleur hazel qui me fixait de loin   

Il me regarda encore quelques secondes avant de détourner le regard l'air amusé, mais pour qui il se prend ce connard ?!

- Tiens, Soraya il faut que je te présente quelqu'un, dit mon père en se levant. 

Je soupira d'agacement,  je peux pas respirer deux minutes?

Je me leva et le suivit sous les regards lourds d'hommes qui avait au moins trois fois mon âge

- T'as intérêt à dire à tes hommes affamés de ce tenir à carreaux si il ne veulent pas terminer dans une cave, dis-je en leur rendant un sal regard

- Soraya, surveille ton langage de je suis ton père pas ton chien.

- Donc j'ai n’est pas le droit de réagir alors que des connards me regarde comme si j'étais un morceau de viande. 

- Soraya

- C'est bon je me tais, boudai-je 

- Je te promet qu'il ne t'arrivera jamais rien tant que je serai là, Soraya je suis ton père mon de devoir est de te protéger toi et tes frères et sœurs, compris?

Il se tourna vers moi avec et implanta ses yeux dans les miens signe qu'il attendait ma réponse et même si pour moi elle était assez évidente je savais qu'il avait besoin de savoir que je lui faisait confiance

- Oui baba, répondis-je en croisant les bras sur ma poitrine

Il se retourna en hochant la tête signe qu'il était satisfait de ma réponse

Mon père était bien là seule personne à qui j'obéissais encore à mon grand âge même si je veux bien l'avouer je lui fait aussi bien la misère à lui qu'au reste de la famille, de toute manière personne ne me dit quoi faire je fais ce que je veux quand je le veux que ça plaise aux autres ou non

Nous nous arrêtions devant plusieurs hommes qui devait avoir ma tranche d'âge dont l'autre imbécile qui lui me regardait toujours avec cette expression amusé sur le visage

Putain, qu'est que ça m'irrite, quand je pense que je devrais supporter sa geule pendant trois semaines ça me donne juste la nosé

Mon père commença à parler avec eux pendant nous nous défions du regard 

Non mais il croit vraiment que j'ai peur de lui?

Il a beau faire 1m95 je ne crois pas que son cerveau sois aussi gigantesque que lui, il va se prendre une vraie gifle quand je vais le faire descendre de son piédestal à cet imbécile

Mon père interpella le fameux Kahlil et lui dit:

- Kahlil je vous présente Soraya ma fille aînée.

Et aussi ton pire cauchemar

- Ravi de vous rencontrer Soraya, dit-il avec un sourire

Tiens des fossettes