𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝟐

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𝐋𝐢𝐬𝐛𝐨𝐧-𝐏𝐨𝐫𝐭𝐮𝐠𝐚𝐥

𝗡𝗜𝗞𝗢̀𝗟𝗔𝗦

Il est exactement huit heures et trente-cinq du matin, la brise fraîche du matin de la côte maritime de la capital me caresse le visage.

J'attrape mon verre de bourbon et l'avala d'une traite, la porte de la terrasse derrière moi s'ouvrît.

— Nik il est huit heure et tu bois déjà ? Bordel t'es vraiment du matin toi..

— Ferme ta gueule Iván j'ai pas le temps ni l'énergie pour tes plaintes maintenant.

Je mis une cigarette dans ma bouche et l'alluma alors que ce petit con éclata de rire, si cet enflure n'aurait pas été mon seul ami je l'aurais cogné depuis longtemps.

— Ton père a demandé à ce qu'on soit tous présents à la réunion de cet après-midi alors essaye de pas de soûler.

Putain j'avais oublié ces putains de réunions, elles sont inutiles et répétitives mais si on en loupe une seule sans bonne raison on est dans la merde.

Après avoir pris une longue douche pour me remettre des émotions de la soirée d'hier je me suis habillé et je suis descendu dans la cuisine.

— J'ai fais des œufs au plats tiens.

Iván me tendu une assiette avec des œufs et des avocats.

— Sinon les deux princesses en haut on en fais quoi on les jettes dehors ?

Hier soir après une sortie en boîte on a ramener deux prostitues avec nos parce que l'autre con voulait s'amener et j'avoue que j'en ai profiter.

— C'est toi qui les as payer alors tu te t'emmerde. Dis-je en ouvrant le frigo pour attraper le jus d'orange.

— Ouais mais pas avec ma carte de crédit, sérieusement ta vraiment cru que j'allais les payer ?

J'étais sur le point de répliquer quand le bruit de talons se fit entendre dans les escaliers.

La petite rousse descendu en sous vêtements avec un sac à main à la main.

— Dites vous savez qui sont les gars avec les grosses voitures noires devant la maison ? Demanda-t-elle en s'asseyant sur un des tabourets de la cuisine.

Je fronça les sourcils et regarda mon bras droit qui était déjà devant la porte.

J'attrape mon glock de derrière mon pantalon et le chargea avant d'enlever la sécurité.

Iván ouvrit la porte d'entrée et souffla avant de ranger son pistolet, après l'avoir rejoins devant la porte je soupira et retourna dans la cuisine.

La grande brune passa le pas de la porte avec plusieurs sacs de luxes.

— Je rêve ou vous alliez me tirer dessus ? Bon sang mais quel genre de famille vous êtes ?! Dit ma petite sœur en enlevant ses talons devant la porte.

— Super il manquer plus que elle, t'es pas sensée être à Manhattan toi ?

Irina leva les yeux aux ciel et avança vers moi pour me prendre dans ses bras.

𝐄𝐒𝐌𝐄𝐑𝐀𝐋𝐃𝐀 Où les histoires vivent. Découvrez maintenant