Mon salon sentait
L'océan de ton absence,
Les vagues
Nos yeux étaient humides et salés,
J'avais encore envie de te voir
Mais malheureusement il était trop tard,
Si un jour tu rentrais à la maison ,
Et m'emmènerai à la plage dit moi à quel
Point l'air frais et salé, comme les larmes
Qui sont tomber à ton décès,
Je sourirais sans jamais te dire,
Que ce salon sentira toujours, l'océan
Et qu'on n'a faillit
Se noyer des millier de foisBeanelle
Bon 2eme poèmes j'espère qu'il vous plaît.
Sur ce au revoir
Très chères amies lecteurs.
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Des courbes manuscrite
PoesíaObservez, comprennez et lisez Juste des poèmes.. Rien de plus Rien de moin Accrochez vous et lancez vous Tout cela est pour vous les très chères amis lecteurs Sur ce on se retrouve à notre point de rendez-vous.