1.

5 1 0
                                    

Je suis en train de me demander qu'est ce que je fou ici, moi, Héra Oktonnel, la mini miss de mon pays, en train de protéger des mafieux, mais au moins c'est bien payé. Je regarde mademoiselle Hella Cock en train de venir dans la salle.
-Salut, toi? Dit-je avec un sourire malicieux.
-je sais très bien ce que tu va m'a demandé, dit-elle en levant les yeux au ciel alors que j'étais toujours autant curieuse.
-sa c'est passer comment avec lui? Lui demandé-je , curieuse.
-il a une femme, dit-elle en s'asseyant sur son bureau derrière le mien.
-ah bah d'accord, le fils de pute, dis-je avec dégoût de cet homme.
-en plus j'y croie mais quand on faisait l'amour, sa femme l'as appelé, dit-elle avec tristesse.
-c'est pour sa que j'ai pas confiance au homme, lui dis-je avec dégoût des hommes. Rappelle toi quand t'y croyais avec Paolo.

                               16heures, bureau de Héra et Hella.
Je me prépare pour rentrer chez moi et aller chercher ma fille, quand soudain la porte fenêtre du bureau se casse et un homme apparue, blessé, je regarde la scène avec paralysie, les yeux grands ouverts.
-t...tu es un... mafieux? Bégaye-je terrifiée par la scène.
-s'il te plaît princesse, aide moi, me dit-il, je suis abasourdie, heureusement que j'ai fait un stage pendant 6 mois en chirurgie. Je l'assois en prenant du fil et je regarder sa blessure, on lui a tiré dessus.
-je...je dois t'extraire la blessure de toi, lui dis-je.
-pas de soucis fait ce que tu veux, princesse, me dit-il, je déteste ce surnom parce que mon ex me le disait. Il avait un petit aire familier entre lui et mon ex. Je prend ma pince à épiler pour prend la balle, avant que j'entrais dans son abdomen il me demande:
-tu peux prendre ma main s'il te plaît? Les yeux suppliant.je prend sa main avec la mienne, nos doigts se croisaient. J'entrer dans son abdomen le faisant gémir de douleur, je prend la balle de mes deux côtés de ma pince à épiler et je la sort de  son abdomen, après sa je coud la blessure, il serre plus fort ma main, je ne peut pas lui dire d'arrêter, je sais que sa fais mal. Petite je coudrai moi même mes blessures parce que ma mère était trop bourré pour prendre le volant. J'ai finis de coudre son abdomen et je lui passe un vêtement de rechange. Il enlever son haut et j'ai cru m'évanouir, ces muscles viril et ces tatouages qui collabore avec ces muscles. C'EST EXTRA! Je détourne la tête pour pas montrer que je le mate mais bon sang, on dirait un dieu grec!
-merci de me prêter des vêtements, dit-il. Je le regarde et il y'a plus son torse nu.
-de rien, qu'est-ce que vous avez fait pour en venir à sa? Je pointe du menton sa blessure.
-ah sa, c'est une longue histoire, dit-il essayant de cacher sa colère. Je fixai sa blessure.
-essayer de ne pas faire des mouvements brusques, lui dis-je tout en fixant sa blessure.
-d'accord, merci princesse, dit- il avec un regarde qui veut tout dire. Je range tout et je prend mon manteau et mon sac.
-vous allez pas sortir avec une jupe aussi courte? Me demande-t-il en grimaçant.
-je sais, c'est pas vraiment le tenue qu'il faut, dis-je en soupirant.
-je vous raccompagne, dit-il en se levant de sa chaise. Quoi?
J'ai cru encore plus m'évanouir, je ne ne croyais pas ce qu'il venait de me dire mais il était sérieux.
-n...non je peux le faire t...toute seule, bégaye-je. Et merde j'ai bégayer.
Il rajuste veste en cuivre tout en regardant le fenêtre cassé.
-aller, venez, me dit-il en me tendant la main, je pose alors ma main sur la sienne en unissant nos mains.

16 heures, école de Aïcha.
-merci de m'avoir raccompagné, dis-je intimidé.
-si vous voulez je peux vous raccompagner tout les séjours, dit-il avec un regarde séduisant. Il est tellement beau.
-merci mais je peux rentrer toute seule, lui dis-je en le regardant dans les yeux. Ces yeux verts comme un serpent, il sont tellement beaux.
-d'accord, c'est comme vous voulez, me dit-il en maintenant notre regard.
-d'accord..., murmurer-je en le fixant, je voulais le dévorer, déchiré ces vêtements et qu'il me baise fort.
-au revoir Héra, dit-il en me fixant avant de partir il me chuchote à l'oreille:
-j'espère que vous êtes pas trop mouillé. Q...quoi!?.
Il part sans se retourner,je le regarde partir,l'air me manquer, je m'empresse d'aller chercher ma fille et d aller à la maison. Je ferme ma porte d'entrée à clef et j'ouvre la fenêtre du salon j'inspire profondément et j'expire lentement puis après je prépare à manger à Aïcha, je la fait dormir et après je mange en regardant ma série Clem' sur Disney +, j' éteint la télé et je débarrasse mon assiette, je prend ma douche, me met en pyjama et me démaquiller. Enfin le repos, je ferme les yeux et je commence à dormir paisiblement.

Merci d'avoir lu ce petit extrait🫰🏻
signé: KATOU🧕🏻

Vous avez atteint le dernier des chapitres publiés.

⏰ Dernière mise à jour : Nov 14 ⏰

Ajoutez cette histoire à votre Bibliothèque pour être informé des nouveaux chapitres !

NOTRE PUTAIN D'HISTOIREOù les histoires vivent. Découvrez maintenant