One prey

1.

Je n'est jamais été effrayé par lui. Ça a toujours été mon confident et la personne qui a toujours été la pour moi et je pense qu'il pense la même chose de moi. Mais après notre mariage j'ai remarqué qu'il étais devenu froid, qu'il m'insulter, mais étais jaloux ect... Puis un soir après une grand dispute il me mis une gifle si violent que je fût propulsé au sol, je lève le regard et remarque la froideur dans son regard. Ce n'allait pas être la dernière fois. Je m'appelle Zara je suis une grande femme, j'ai un teint bronzer qui reflète mes origines brésiliennes, j'ai des yeux en amende qui sont d'un vert très clair, j'ai des long cheveux noir boucler qui m'arrive au fesses et j'ai un jolie corp avec des formes.

Un soir, je rentre seul d'une soirée entre copines, je n'avais pas prévenu Rayan car il refuse tout le temps que je les voit même si ce sont toutes des femmes. Je franchit la porte, mes jambes tremblantes, je me dirige vers le salon ou je le vois assis sur le canapé, m'attendent. Il est grand, son physique a tout d'un maghrébin, un teint bronzer, un corp musclé et imposant, des yeux noir qui ne reflète aucune pitié et des cheveux court, bouclé et foncé.
— Ou étais tu ? Me dit-il d'une voix remplie d'une rage calme qui est capable d'exploser à chaque instant
— Je me suis promener...seul.
Je sais qu'il ne va pas me croire à cause du stress qu'il y a dans ma voix.
— Tu me mens, n'est ce pas, Zara ?
Il ce redresse du canapé puis ce rapproche de moi, ces yeux rempli de pure rage. Il m'attrape les cheveux, ce qui me fait gémir de douleur, pour les tirer en arrière, il ce rapproche de mon de mon oreille, je ressent son souffle chaud.
— Alors écoute moi bien, petite pute, tu va me dire tout de suite où tu étais ou tu peut t'assurer que j'ajouterai de nouveau bleus à ta collection. Il le dit d'une manière si calm qu'ont oublierai ça colère.
Je me met à stressé car peut importe ce que je diras, je finirais inconscientes sur le sol, je me met à trembler je peur face à ces menaces, mais je me décide à dire la vérité
— J'étais avec mes amis, mais je le jure, ce sont elles qui mon forcer a sortir, je-
Je n'ai même pas eu le temps de finir ma phrase qu'il me cogne la tète contre le mur. Je me met à crier de douleur et je tombe à genoux. Il me regarde avec un aire critique quand il me dit de manière calme.
— Je ne t'ai pas marié pour que tu sorte fair la pute dehors. Tu pense que j'en est finis avec toi ?
Il ce met à me donner des coups de pieds à mes hanches, ce qui me déclenche une douleur atroce. Je me met à le supplier d'arrêter alors que je commence à pleurer.
Il me regarde de haute en bas puis il quitte la pièce sans dire un mots. Je me lève avec douleur et je m'effondre sur le canapé.
J'entends du bruit venant de la chambre à coucher. Je me dirige vers elle avec douleur et peur. Quand j'ouvre la porte je vois Rayan, littéralement en train de tout casser dans la chambre, ces yeux remplie de rage, je me précipite vers lui, inquiéte.
— Rayan ?! Est ce que ça va !? Je dit paniquer en lui attrapant le bras.
Il me repousse et j'atterris sur le lit.
— Non ! Tu sais pourquoi ? Il s'agenouille sur moi, attrape mes deux poignets et les épingles au dessus de ma tête. Je ne vais pas bien parce que ma salope de femme choisis de passer du temps avec ces putes d'amis plutôt que moi !
Il me regarde avec tant de haine et de jalousie que ça me donne des frissons.
— Je suis tellement désolé, épargne moi ce soir.
Je dit toute tremblantes et effrayées.
Il me regarde de haute en bas et ce lève. Il quitte la pièce, je l'entend marcher jusqu'à la porte d'entrée et j'entends cette dernière s'ouvrir et ce ferme, il est sorti...encore
Je reste toute la nuit allongé sur le lit, je m'inquiète pour lui et je me sens seul.