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Vers 03:54, j'entends la porte d'entrée s'ouvrir est ce fermer, je pense a une intrusion mais c'est loin d'être ça. D'un coup la porte de la chambre s'ouvre et je vois Rayan, bourré. Je me précipite vers lui inquiète, même après tout ce qu'il me fait subir, je continue de m'inquiéter pour lui comme si il étais tout ce que j'avais.
— Rayan ? Ça va ? Je dit avec une inquiétude palpable, il bois beaucoup en ce moment et je m'inquiète pour sa santé.
Il ne me répond pas et s'effondre sur le lit de manière violente comme si son corp pesait des tonnes. Je soupire et je lui enlève ces chaussures, j'essaie de déplacer son corp lourd pour qu'il puisse dormir confortablement. Je mets une couverture chaude sur lui et je lui donne un baiser sur le front.
— Bonne nuit...

Je soupire et je m'allonge a côté de lui, me demandant combien de temps je vais survivre à ça. Je me tourne face à lui pour regarder si il va bien, son visage a l'air si doux et détendue, un lourd contraste comparé à son visage froid et fermé. Quand ont étais enfant, il avait l'habitude de dormir chez moi pour s'échapper de son foyer violent, il était le premier à dormir, son visage ressemblait a celui d'un ange, encore aujourd'hui, j'ai l'impression de revoir ce petit et doux garçon quand il dort. Après une demi-heure, je m'endors enfin.

Je me réveille vers 10:30, le premiers son que j'entends est le bruit de l'eau qui tombent dans la salle de bain, je regarde a côté de moi et je remarque que Rayan n'est pas là, il doit être en train de ce doucher. J'essaye de me lever mais cela est très compliqué à cause de la douleur de ces coups. Je reste assise sur le lit, perdu en regardant le vide quand il fait éruption dans la chambre, à moitié mouillé et une serviette enroulée autour de ça taille.

— Que fait tu ici ? Pourquoi n'es-tu pas dans la cuisine en train de préparer le petit déjeuner ?
Me dit-il avec jugement en me regardent de haute en bas.
— Je suis un peut fatigué...
Je dit avec de la détresse et de la douleur dans ma voix, je sais très bien que c'est mieux pour moi de ne pas le frustré ou le mètre en colère alors je ne dit pas directement que c'est à cause de lui que je me sens incapable de bouger.
— Fatigué ? Tu veux que je te montre la vrai fatigue ?
Il prend une lampe de chevet et lève son bras, planifiant de me la balancer à la geul. Je place rapidement mes bras devant mon visage, ce réflexe qui est née de la par de ces coups.

La lampe étais sur le point de finir en morceaux sur mon visages quand il reçoit un appel de son travaille.
— Tu la de la chance, salope. Il dit avec déception.
Il adore me frapper, à chaque fois qu'il le fait, il a ce sourire cruel et horrible. Il prend son téléphone et répond, je reste tétanisée et tremblante, me demandent ce qu'on va ce passer ensuite. Après 4 minutes il raccroche et me dit d'une voix pressé.
— J'ai un meeting dans 1 heure, je compte sur toi pour être une bonne petite épouse et rester sage. Entendu ?
Je hoche doucement la tête, il me souris froidement. Il enfile son costume qui le rend tellement sexy et il quitte la pièce, j'entends les bruit de ces pas lourd s'estomper jusqu'à la porte d'entré, j'entends cette dernière s'ouvrir et ce fermer. Il est partie.

One prey Où les histoires vivent. Découvrez maintenant