Cataleya

27.

Salut!!!!! Pardon pour mes fautes d'orthographe et sur ce bonne lecture les choupettes ❤️

nous étions maintenant à la maison,j'étais dans la cuisine à boire mon verre d'eau,le mafieux lui a disparu depuis notre arrivée, je tremblait encore face à son indifférence de prendre l'âme de quelqu'un

il a dû faire ça toute sa vie,tuer n'est que jeu d'enfant pour lui,dans tout les cas ce que je savais sur lui c'est qu'il n'avait pas de frère mais plutôt une sœur,encore une fois Cassie m'a menti,alors quand elle parlait au téléphone elle m'avait déjà vu et elle faisait semblant de parler au téléphone,parce que sinon comment à t-elle fait l'erreur de dire qu'il avait un frère et non une sœur,cette histoire devient louche,ça sent la magouille à plein nez

des pas lourd me sortirent de mes pensées,je me redresse automatiquement,et dépose le verre dans l'évier et sortirent de la cuisine et au passage je me suis prise un mur en pleine gueule

génial,toujours quand je m'y attends le moins

-en plus d'être chiante t'es aveugle,crache t-il en me repoussant

je l'ignore,et essaie de le dépasser mais ce con a eu l'audace de me retenir en attrapant mon coude,je lui lance un regard de mort en voyant son sourire en coin

-si tes yeux étaient des lames mon corps subirait de gros dégâts

-je te le fais pas dire,dis-je en grinçant des dents

-peux-tu m'expliquer pourquoi tu m'a embrasser, dit-il

-je..je..

-oui tu,lance t-il

Roh il vois pas que je suis gênée,quel con

-je voulais juste éviter un mort sur ma conscience c'est tout, crachais-je

-ah oui,alors ce baiser était une erreur n'est ce pas ?

-heu..oui bien sur,dis-je tristement

comment admettre que j'ai aimé chaque parcelle de de baiser,que jai aimé chaque seconde qui s'écroulait quand ces lèvres étaient contre les miennes,que j'ai aimé chaque grognement de sa part,la façon dont je tirait sur ses cheveux,la façon dont il me tenais comme si j'étais faite de verre,comme si j'étais précieux,unique, spéciale

-tu regrette de l'avoir fait,demanda-t-il

que répondre à ça,la vérité et rien que la vérité

et s'il se moque? ça ne m'étonnerait sûrement pas,et s'il n'a pas aimé? et si je le répugnait?et s'il se disait que j'étais une fille facile,une fille facile à mettre dans son lit?

-non je regrette pas,la preuve il y'a pas eu de mort heureusement,dis-je enfin

-tu as fait ça pour lui ou pour toi?

-pouvons-nous oublier ce baiser,dis-je en passant mes mains dans mes cheveux,je n'aimais vraiment pas toutes ces questions qu'il me posait

-non,je veux une réponse,crache t-il

N'empêche il force un peu trop là 

-j'ai l'ai fait pour lui,parce que c'était le seul moyen pour toi,pour moi et même pour lui

-je comprends pas Cataleya ce n'es pas comme si c'était toi qui allait le buter

je me crispe en entendant ces mots cru,est-il si insouciant de prendre une vie,n'a t-il pas d'âme?

-tu es sans coeur,dis-je faiblement

-je n'en ai jamais eu figure,tu sais pas ce que ça fait de ne pas avoir le choix,le choix de choisir sa vie,le choix de choisir ce qui nous fait plaisir,ce qui me fait plaisir,donc oui je suis sans cœur et je serai ainsi jusqu'à ma mort,crache t-il avec colère

ses yeux ils sont vides d'émotions,comme si c'était pas lui qui parlait mais plutôt le lui du passé qui n'a pas pu attraper ces rêves,qui à vu son avenir briser en un éclat,et qui essaie de rassembler ces morceaux briser pour ce forger une carapace,une carapace que je viens de fêlé avec mes mots

-je voulais pas dire ça,murmurais-je doucement

-Dis-moi à tes yeux c'est ce que je suis un homme sans cœur?

je restait muette culpabilisant pour ce que je venais de dire

-non bien sûr que non,j'ai dit ça sur le coup de la peur,dis-je

un rire sinistre sorti du fin fond de sa gorge,un rire que me fit froid dans le dos,un rire qui sortait tout droit de l'enfer

-peur tu as eu peur,c'est pas comme si tu savais pas qui j'étais ou ce que je fais,je suis un mafieux qui n'a ni foi ni loi,qui n'a pas peur de buter encore et encore,je suis un mafieux sans coeur comme tu le dit si bien,et tu es maintenant coincé avec moi jusqu'à la fin de ta misérable vie

et c'est sur ces paroles qu'il sort de la maison en me laissant planté là comme un arbre,un sanglots s'échappe de ma bouche,en parti il disait vrai je suis coincé avec lui,coincé avec celui qui faisait battre mon cœur un mafieux c'est ce qu'il est,il l'a dit,il est sans foi ni loi,et moi je me suis frotter à lui plus d'une fois,que dois-je faire,m'échapper encore une fois c'est trop risqué,je ne sais pas ce qui m'attends dehors,je sais pas qui veux ma mort

je ferais mieux de rester sur la protection de mon bourreau,je monte à l'étage et allait me diriger vers ma chambre quand je vois que la sienne était ouverte,ma curiosité pris le dessus et j'entrais dans l'antre du diable,qui sait ce que je pourrais trouver.....