Je me réveille en sursaut du lit avec mes cheveux dégoulinant d'eau froide, car ce con a eu la brillante idée de me jeter un verre d'eau à la figure, je lui lance un regard plein de haine quel con

-je te paie pas pour dormir, fillette, susurre t-il

Je rêve, il se fout de qui là je peux même pas faire la sieste tranquillement,je donnerai tout pour avoir ma vie d'avant mais comme on dit on peux pas tout avoir dans la vie

- tu sais cette fillette peux faire des ravages, dis-je d'un ton nonchalant

Je sais pas pourquoi j'ai dis ça mais trop tard ma bouche avait pris les devant sans que je l'en empêcher

-j'aimerai bien voir les ravages d'une fillette comme toi, dit-il avec une lueur de malice dans les yeux

Ces même yeux qui me fait froid dans le dos, je lève les yeux au ciel et me dirige vers la douche, j'entendis la porte de ma chambre de fermer signe que l'hystérique venait de quitter ma chambre

Je me brosse les dents et prends une douche, après avoir fini je m'habille et sort de la pièce, je descends les marches de cette grande maison tout en me dirigeant vers la cuisine je décide de le petits-déjeuners pour le mafieux je vais toute même pas me faire engueuler par ce connard de si bon matin

***

Je termine de faire le petit-déjeuners, je m'assois sur la chaise de la cuisine, plonger dans mes pensées, je pèse le pour et le contre pour savoir si je dois monter pour lui dire que le petit-déjeuners est servi ou si je dois rester assise et la fermer, après mainte réflexion je descends de la chaise et me dirige à pas de loup vers l'escalier,j'espère au moins qu'il ne va pas me faire chier hein arriver devant son bureau je toque mais pas de réponse

est-il sorti ?non je l'aurais entendu, je toque une deuxième fois pas de réponse mais il fout quoi bordel ,je souffle de frustration et ouvre la porte dans un accès de colère, je pousse un hoquet de surprise, si seulement j'avais su j'aurais préféré rester en bas à manger ma nourriture, la sur le bureau la bimbo de la dernière fois était là ils...ils s'embrassaient langoureusement, je sais qu'ils m'ont entendu mais trop occuper à aspirer l'âme de l'autre pour pouvoir se séparer rien que de voir ça j'ai envie de gerber

après quelques minutes ils se détachent enfin,je devrais sortir de là ,mais laisser moi Vous dire que c'était impossible mes pied on dirait qu'ils ont été cloué avec du béton, ils me regardent et moi je reste là muette à chaque fois je tombe toujours au mauvais moment et au mauvais endroit à croire qu'ils penserons que je fais exprès

Mon Dieu,pourquoi moi dis-je

la bimbo me regarde d'un air blasé, je détourne le regard parce que j'ai vraiment fauté là

-tu veux quoi encore toi à chaque fois tu nous dérange t'en à pas marre à la fin

Mon œil si tu savais j'aimerais pas être là si j'avais le choix ,je le fixe tout simplement sans lui répondre à quoi bon je vais toute même pas gaspiller ma salive pour une.... une bimbo dis-je fièrement mais pas assez fort pour qu'elle puisse m'entendre

le psychopathe ne dit rien tant mieux déjà que je supporte les suppositions de cette bimbo, autant qu'il la ferme

-je...je...je suis juste venu prévenir mon bou... je veux dire Monsieur Giovanich que j'ai préparé le petit-déjeuner et qu'il devrait descendre pour.... je laisse ma phrase en suspense

ils pourront au moins deviner la suite,soit ils sont pour ne pas savoir où c'est moi l'idiote ici

ils me regardent de travers,je souffle un bon coup et reprend calmement:

-j'ai fait de la bouge vous allez rester ici ou descendre manger dis-je d'une voix confiante

le psychopathe lève un sourcil, et lance:

-tu nous donnes des ordres

-loin de moi cette idée Monsieur je...je enfin...

putain j'arrive pas à aligner une phrase correctement il me met dans tout mes états génial

-je vais vous laissé excuser mon impolitesse, je sort de la pièce et pousse un soupire de soulagement je descends les marches et à ma grande surprise il y'a une femme debout au milieu de la pièce c'est quoi ce merdier,il tourne la tête vers moi et me sourit doucement

-oh salut!! je pensais que je me suis trompé de maison, parce que il y a pas âme qui vive ici enfin c'était avant que je vous vois,dit cette étrangère

bon faut le dire c'est une étrangère vi que je sais pas qui elle est,ni ce qu'elle fou ici au milieu du salon

-je.. vous êtes qui?

laisse moi vous dire c'est tout ce qui m'est venu à la tête,elle me regarde hébété et plisse les yeux comme sil elle voulait lire mon âme

-il te l'a pas dit c'est ça? pose t-elle

me dire quoi? et qui dois me dire quoi

-je me présente alors,je suis Isabelle la sœur d'Alex, lance t-elle avec un sourire au lèvre

Cataleya Où les histoires vivent. Découvrez maintenant