Que du sexe

Le début ou la fin

Je pense tout les jours à comment ça se termine, le problème, c'est que moi, je ne veux pas que ça se termine.

Moi et Myck, on était sur le lit et on parlait de notre avenir, de ce qui ce passera à la fin de cette aventure.

Myck: Tu continueras à vivre ta vie, et moi la mienne. Mais saches que tu me manqueras Clara, vraiment beaucoup.

Moi: Je sais que je vais te manquer, de toute façon, je manque à tout le monde.

Même si j'affiche un ère de soulagement, j'aurais voulu que ça dure plus longtemps. La seule personne qui tient à moi, le seul être qui croit en moi, l'un de mes meilleurs amis, le seul qui ne m'a pas vu comme un jouet, va parti à tout jamais. Il me manqueras.  D'habitude je ne m'attache à personne pour éviter ça, mais lui sait différent, même si il va partir, je suis contente de l'avoir connu.

- Tu me manqueras beaucoup Myck.

- Mickaël.

- Quoi ?

- Mon vrai prénom c'est Mickaël.

- Tu me manqueras beaucoup Mickaël.

- Moi aussi tu me manqueras Clara.

Vous vous dites mais tu pourras toujours aller le voir, mais non, après tout ça je conte venir vivre ici. Je terminerais d'enregistrer mon album pour ensuite venir vivre ici avec les miens. La vie est trop courte pour la gaspiller, je veux reprendre ma vie en main, comme ça au moins, il ne sera pas venu dans ma vie pour rien.

Je suis allée me coucher sur notre lit, et je l'ai vu arriver. Il ne regardait avec tristesse et tendresse. L'amour ce n'est pas pour moi, la fantaisie et le bonheur que d'alle, mais lui, je le veux.

Bref, il c'est avancé, pour ensuite passer ces mains dans mes cheveux en pensant que je dormais. J'ai comme qui dirait figé. Il me regarde pour ensuite dire:
- Qui aurait cru que je tomberais amoureux de toi, tu es une femme fascinante.

Ma réaction a été immédiate, je me suis empressée de l'embrasser, le problème c'est que je me suis arrêtée:

- Je suis désolé.

- Tu n'as pas à l'être, moi aussi je veux t'embrasser Clara.

Il m'a embrassé ci tendrement, pas comme la dernière foi non, cette foie, le baisser était volontaire et passionné.

C'est très vite devenu ingérable, il a commencé à me déshabille, en m'enlevant mes vêtements me laissant avec comme barrière que mes sous-vêtements.

Il a commencé par mon coup, ensuite mes seins et mon ventre. Il était d'une telle délicatesse, pas comme les autres tordus. On aurait dit que pour lui, j'étais devenu une enfant, faible et fragile. Il goûtait à chaque partie de mon corps comme un plaisir. Le bonheur m'envahit quand il enleva ma culottes. Je le deshabille à mon tour, mais je suis incapable de lui faire ressentir ce qu'il m'a fait ressentir donc j'abandonne et le laisse continuer. Je ne pouvais plus cacher ma joie quand il plongea sa langue dans mon entre jambe. Un plaisir incroyable.

Pour la première fois de ma vie, malgré mon expérience, je redécouvre le plaisir que peut procurer le sexe, pour la première foie, j'ai fait l'amour. Le sexe en soi ne conte pas vraiment en ce moments, mais plutôt la personne.

                               À suivre