Behind every lady, there's a secret~

chapitre 2

PDV EXTERNE

Nuit tombée, lune levée, soleil couché et étoiles dans le ciel.

Le grand manoir, ancien mais surprenament bien entretenue, était silencieux mais une salle, aux murs isoler pour éviter tout sons de ce faire entendre de l'extérieur, semblait agitée.

Quelques bougies étaient allumées alors, comme seule source de lumière. Un bruit de claquement ce fit entendre dans la salle suivit d'un cris étouffé, laissant un sourire ce tracer sur les lèvres d'un homme tenant une ceinture de cuire.

Cet homme grand et séduisant semblait jeune malgré son grand âge et semblait amusé par la réaction de sa jeune congénère de 19 ans a peine.

Grande aux corps laissant voir de généreuses formes, ses long cheveux d'un noir comme cendre dévalaient le long de son dos couvert de marques rouges laissant savoir les nombreux coup quelle avait reçut.

L'homme avait alors brisé le silence qui c'était installé dans la salle tout en s'approchant du corps de la jeune femme qui respirait plus rapidement.

-N'es tu pas capable de contrôler les filles que je te confie?... Tu me déçoit ma belle... J'ai fait de toi maîtresse de ces lieu en mon absence et j'apprend les bêtise que les filles ont fait alors que tu étais présente...

Sa voie suave mais attirante donna des frisson a la jeune femme, mains et poignets liés et attachés a un crochet au plafond de la salle sombre. Le grand homme posa ses mains robuste sur les hanches de la jeune fille, la faisant sursauter. Celle ci serra légèrement les dents avant de répondre aux paroles de cet homme.

-pardonnez moi... Cela ne ce reproduira plus p...

Sa voie douce fut coupé par l'homme qui repoussa des cheveux du cou délicat de cette jeune fille.

-appel moi par mon prénom...

Elle hésita un moment et l'homme lui détacha les mains pour ensuite la pousser sur le lit juste a coter.

-cris mon nom a t'en briser la voie ma petite...

Il ce pencha vers son corps dénudé et délicat pour y faire un suçon dans le cou. Puis descendant ses mains le long du corps meurtrît de la jeune fille, couchée sous lui. Il la retourna sur le ventre le lui empoignant les hanches. L'homme lui ordonna de ce mettre a quatre pattes, ce quelle fit. Ils retira son pantalon haute couture pour finalement mettre ses grandes mains chaudes sur les fesses de la jeune fille de 19 ans.

-je ne serai pas doux... Tu ne l'as pour mérité Abigaël...

Un sourire mesquin et pervers collé aux lèvres, il la pénétra sauvagement, lui arrachant un petit cris. Il allait rapidement, ne laissant aucun répit a Abigaël qui, a la fin de tout cela, se laissa tomber de coter sur le lit.

L'homme sourit en remontant la fermeture éclaire de son pantalon avant d'aller vers la porte.

-tu as un heure.... Rejoins moi a mon bureau.

Sur ces mots, il laissa la jeune fille seule, sur le lit.

PDV ABIGAËL

J'avais pris le temps de prendre une douche, tentant désespérément de détendre mon pauvre corps subissant fréquemment les passages sauvages et ardents du patron.

Je sortit de la chambre portant un bustier noir couvert de dentelles avec une jupe tout aussi noir , arrivant a mi cuisse. Le bustier laissait voir le haut de mon dos et son les marques. Il était fréquent que une des jeunes filles de cet établissement porte ces marques. Trop fréquent. Mais nous en avions toute l'habitude. Nous l'avions toute vécu et moi d'abord.

Je marchais dans le couloir faisant ainsi claquer les tallons de mes chaussures alors que les jeune filles que je croisais me laissait le passage. En tant que bras droit du patron j'avais leurs respect mais je me devait un respect total a cet homme.

Les couloir élégants laissaient voir une tapisserie de style victorien aux tons blanc et noir. Les couleurs ternis par les années donnait un effet nostalgique sur qui-qu'onc qui passait ici.

Je me dirigeais donc vers le bureau du patron sans vraiment me presser. Pourtant j'aurais du et je le su après avoir toquer a la porte de son bureau.

Sa voie forte mais fascinante me fit sursauter.

-entre! Toujours en retard toi!

-navrée... Je ne pensais pas que deux minutes seraient...

-ce sont deux minutes de trop!

Son visage froid et durs ce radoucis alors qu'il remarquait sûrement la peur dans mes yeux. Il s'approcha de moi et posa une main sur mon épaule gauche puis me releva le menton de son autre main.

-ne fait pas ce visage... Cette expression gâche ta jeune beauté.

Pas étonnant que toute les fille du bâtiment tombaient a ses pied... Un vrai dieux grec... Moi même j'avais de la difficultés a l'avouer.

-une nouvelle arrive d'ici peut. Je souhaite donc que tu t'occupe de son éducation.

A ce moment, quelqu'un toca a la porte. J'allais ouvrir alors que le patron alla s'asseoir devant son bureau et une jeune fille entra. La nouvelle. Je retourna au près du patron qui posa une main dans le bas de mon dos, tout près de mon fessier lui aussi meurtri.

-tu dois être Alice... Ma fille, ici présente , s'occupera de toi. Et de ton éducation dans cet établissement.

Et voilà, c'est repartie... Une autre fille a "éduquer".