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Je n'ai pas le temps de finir ma phrase que une main m'attrape le bas du visage avec un mouchoir aspergé de produit toxique. J'essaye de retenir ma respiration mais c'était trop tard. Une autre personne me mets un sac sur la tête. Les derniers mots que j'entendis était

-Bonne nuit meleğim

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Nilay

Mes paupières commencent à s'ouvrir petit à petit, je me lève ne comprenant toujours pas où je suis. Lorsque je reprends mes esprits je remarque que je suis sur un matelas assez sale avec les pieds attaché a des chaînes. Tout en continuant d'examiner la salle je vois une petite fenêtre. J'étais dans une salle qui voulait dire tu es une esclave rien d'autre. Je me suis habitué à ce genre d'endroit et dire que j'y retourne. Je me lève et m'approche de la porte, il fait assez noir dans la pièce mais j'arrive quand même à trouver la poignet je la tire sans aucun suspense la porte est verrouillé. Je ne me laisse pas abattre, je force sur la porte la tapant de tout les côtés. Rien, sa sert totalement à rien. Bon, j'essaye au moins d'enlever les chaînes qui sont relier à mes pieds.

Lorsque je me rappelle que dans les films ils utilisent souvent des épingles à cheveux. Je prends donc le mien qui était toujours restée dans mes cheveux et essaye de déverrouiller le cadenas qui retient les chaînes. J'entends les bruits des chaînes qui tombe par terre, sa a marché. J'enlève les chaînes qui était encore enroulé dans mes pieds et me lève pour essayer la même technique sur la serrure, sa marche un sourire se forme sur mes lèvres.

J'ouvre la porte, la lumière du soleil me fait plisser les yeux. Je regarde à droite et a gauche personne. Je fait mon premier pas sur la pointe des pieds pour ne pas faire de bruits. C'est comme si j'étais dans un château, j'avance petit à petit toujours sur la pointe des pieds. Je suis dans un immense couloir mais j'arrive à voir de loin des escaliers, j'avance de plus en plus prudemment.

Je descends les escaliers, j'arrive dans un salon un grand salon même immense. Je marche tout d'un coup une main m'attrape la mâchoire.

-C'est donc toi la fameuse du chef dit il

Je lui mors sa main et le pousse loin de moi. Il laisse un petit gémissement de douleur.

-T'es du genre féroce toi dit il en tenant sa main

Je reste sur mes gardes, et essaye de trouver un moyen de m'échapper.

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⏰ Dernière mise à jour : Nov 09 ⏰

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