Saison 1: épisode 1 Plus jamais

5 1 0
                                    

Les premiers raillons du soleil me réveille, il est est 7 h30 du matin. C'est la rentrée à Sans Diego French-American School. Je me lève de mon lit, je me dirige vers la cuisine, pour prendre mon petit déjeuner. Sur le frigo, il y a un petit mot: 

"On est parti à 7h avec Lola pour la déposer à l'école, on n'a pas voulu vous dérangez avec Chris. En plus, on commence plutôt le travaille, aujourd'hui donc, ça tombait bien. Bonne rentrée Milla et toi aussi Chris même si on sait, que Mimi sera la première lever ! Signer Papa et Maman"

Je souris bêtement dans la cuisine, cela n'échappe pas à mon stupide frère qui c'est réveillé entre temps et qui me filme comme l'imbécile qu'il est.

Tu veux quoi ?!! Dis-je sauvagement, et sur les nerfs dès le matin, à cause de ce crétin je vais être de mauvaise humeur. En plus, le mot des parent m'avaient donné du beau mot cœur.

Ha, haha !  Si t'avais vu ta tête ! dis-t-il. Calme-toi, je sais vraiment ce que te trouve Louis, tu est trop pénible ! En rajouta-t-il.

Louis est le meilleur ami de Chris depuis qu'ils ont 7 ans et moi 5, mon frère à beau être un crétin non, il n'a pas redoublé, il est juste né en début d'année. Depuis, qu'on est arrivé à Sans Diego Louis est son meilleur ami, on se connaît depuis qu'on est petit et il  est tombé amoureux de moi, quand on est arrivé. Moi, je ne l'aime que comme un grand frère une des nombreuse raison pour laquelle nous ne sommes pas ensemble.

C'est normal, abruti je suis ta sœur tu ne m'aimera jamais plus que ça ! dis-je révolté. De toute façon, tu n'as aucun goût en matière de femme !

je chauffa, après une tisane pour moi et du lait demi-écrémé pour mon abruti de frangin. Je me changea, à la vitesse de la lumière. J'habitait à 15 minutes de mon collège, je devais avant passer devant mon ancien collège où j'ai vaincu l'enfer pendant 1 ans, j'ai dû mal à y croire mais c'est grâce à mon frère, Louis et moi-même que j'ai peut m'échapper de là.  Je choisi de mettre une écharpe beige, un jean bleu pâle, avec un sweat à capuche bleu, avec un cœur à gauche, en dessus une chemisette blanche, à bouton et un manteau noir, pour éviter qu'on me reconnaisse. Je me fais après une demi-queue de cheval et sort de la maison en compagnie de mon frère et Louis qui est aussi par ailleurs notre voisin de droite.

Salut ! Mon Ange, tu vas bien ? dis Louis très gentiment.

Oui, très bien, mais arrête de m'appeler comme ça s'il-te-plaît. Dis-je froidement.

Tu ferais, mieux de l'écouter et surtout d'arrêter de la draguer, je te rappelle que c'est ma petite sœur. Dis- Chris très remonter à ce que je vois.

Je mis à marcher pour éviter qu'on me voies avec ces deux crétins.

(Musique !)

Je passa, alors devant mon ancien collège où j'avais tant souffert, je suis même pas sûr que je sois encore là, si Chris et Louis ne m'avaient pas aidé, une lutte quotidienne. Un jour, ILS m'ont coupé les cheveux en carré, alors qu'ils m'arrivaient aux reins avant, un autre ILS m'ont poussé dans les escaliers et m'ont roulés de coups. ILS m'ont laissé pour morte dans le palier, je n'avais même plus la force de bouger, c'est Chris qui m'a retrouvé au sol et qui ma emmené à l'infirmerie.  Je me cachais aux toilettes, ILS m'insultaient de tous les noms "fille de p*te", "p*te", "s*lope", "va crevée", "pro*tituée", "s*le merde", "m*rde" et j'en passe. ILS m'ont même fouler le poignet, dans les vestiaires. Soi-disant, être comme moi, est la pire chose qui soi, ou encore je fais honte à ma famille et ils comprennent pas pourquoi, je suis toujours en vie. A cette, époque je pensais qu'ILS avaient raison, que pour moi j'étais une erreur de la nature. J'ai voulu mettre fin , à mes jours 3 fois. Une fois, avec une corde mais Chris est rentré à temps, la deuxième fois en sautant de ma fenêtre, mais celle-ci était bloquée. Et la dernière fois, essayant de m'ouvrir les veines avec compas, mais Louis la pris quand j'avais commencé.

Souvenir de la tentative de suicide au compas:

Tu fous quoi, encore !! On t'as dit qu'on est là ! Arrête, c'est bientôt fini !!! Je te le jure ! Dis-Louis au bord des larmes et de la colère dans la voix. Putain, de merde !!!! Stop, arrête Milla on tient trop à toi, pour que tu crèves maintenant !

Mais, laisse-moi !! Je veux mourir, j'en peux plus, ILS veulent ma peau, ILS ont raison je ne mérite pas de vivre !  Dis-je à bout de force.

JAMAIS !! Déclara-t-il.

Fin du souvenir de la tentative de suicide au compas:

Tous ces souvenirs douloureux, avaient embuer ma vue, je tourna la tête vers la droite ou se trouvait mon ancienne prison. Je LES reconnus et EUX me reconnus. Il fallait que, je cours, il FAUT que je cours.

Milla, tu vas être contente TES meilleures ami(e)s vont dans ton collège cette année bonne chance, il n'y aura plus d'échappatoire. disent des gamins que j'avais vu de temps à autres comme ça.

Juste après, ils se mirent à me courir après, moi. Quand, j'entendis une voix que je connaissais bien.

Arrêter, les crétins ! Vous avez quels âges ! dis-t-il.

Je me retourna d'une traite et vit les gamins pas plus âgés que, moi déguerpir. Et là, je me rendis conte qu'IL était là. IL n'avait pas trop changé toujours avec ça coupe casquette sur la tête, ses yeux bruns pétillaient à ma vue, mais IL était plus grand et plus musclé qu'avant, mais à mes yeux c'était toujours, le crétin qui m'avait fais souffrir. Ce, IL que j'avais l'habitude me m'énumérer quand je parlais de ma souffrance. IL n'est que le seul et l'unique Noah...

Euh, Milla je voulais te dire que... commença-t-il.

FERME-LA !!!!!!!!! CRETIN, JE TE HAIS NE T'APPROCHE PLUS JAMAIS DE MOI !!!!!



A suivre au prochain chapitre 


Oublie-moiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant