Cette chanson que tu aimais
Me fait frémir,
Car en l'écoutant je me rappelle ton sourire
Ce rire sans éclats que tu affichais à chacune de mes plaisanteries
Nous avions les mêmes rêveries,
Les mêmes désires utopiques
Tes paroles m'émouvaient bien que je sois de nature flegmatique
Je me sentais vivre en toi et tu vivais dans mon for intérieur
L'amitié qui nous liait a fait naitre en moi un sentiment d'allégresse
M'éloignant ainsi de toute tristesse
Tu n'es certes plus là,
Mais à chaque fois
Que j'écoute les lyriques de cette chanson,
Je m'assoupie par leur douces mélodie
En pensant aux injustices que la vie
T'a fait subir.
Cadelor