RUBY [ TOME 1] ( TERMINÉ )

chapitre 15

Point de vue ruby.

Après avoir tous mangé nous nous asseyons tous au salon sauf les enfants qui avaient décidé de jouer dans la chambre de junior. On parlais et discuter sans gêne. Mes yeux ne pouvaient pas quitter Malick. Il était toujours le même. Il n'a pas du tout vieilli et est toujours aussi beau et rajeuni qu'avant. Tout le contraire de moi. Voudra t'il toujours de moi?

Malick : ruby...tu n'as pas changé du tout.

Ruby : toi non plus. Tu es toujours le même.

Marétou: je sens que notre famille va s'agrandir

Mouhamed : marétou ! Pas de bêtises.

Marétou : Quoi ? Je dis seulement ce que je vois.

Mère : les enfants arrêtez de vous disputer vous le mettez mal à l'aise.

Marétou : ton neveux m'empêche de m'exprimer.

Mouhamed : parce que tu ne sors que des bêtises de ta bouche.

Ruby : bon ça suffit maintenant. Malick ?

Malick : oui?

Ruby : peux tu venir avec moi j'ai à te parler.

Malick : bien-sûr.

Je me lève Malick me suivant par derrière. J'attend toujours mouhamed se disputer avec marétou et ma mère qui essaye de les calmer.
Je monte dans ma chambre et invite Malick à s'installer.

Ruby : si tu n'es pas à l'aise ici...on peut aller sur le balcon.

Malick : c'est bon t'inquiètes pas.

Ruby : ok

Je m'assis à côté de lui timidement et n'ose pas le regarder. Pourquoi je me sens intimider maintenant ? C'est dû à la distance ?
Ruby : qu'est ce que tu deviens maintenant ?

Malick : je suis toujours... Malick. En fin j'ai un peu changé de stratégie dans ma vie.

Ruby : hum. Tu me racontes ?

Malick : bien sûr si tu veux. Je suis allé en France chez un cousin je suis resté avec lui au moins 2 ans ...je voulais commencer une nouvelle chose un nouveau chemin. J'ai alors commencer à prendre des photos un peu partout. J'avais retrouvé cette passion que j'avais quand j'étais petit photographier. Alors j'ai commencé à voyager dans les villes. À prendre des photos.

Quelques mois après j'ai lancé mon projet et j'ai trouvé des modèles. J'ai ouvert des thèmes et j'ai commencé à y bosser. Je me souviens a cette époque y'avais un concours. J'ai voulu le gagner pour avoir des partenaires.

Ruby: as tu réussi ?

Malick : oui avec l'aide de mon équipe et de mouhamed.

Ruby : mouhamed...donc vous vous êtes connu là-bas.

Malick : oui avant de venir ici. Il n'arrête pas de me traiter comme un patron alors qu'au fond on est devenu de très bon amis.

Ruby : je suis contente d'entendre ça. Et félicitations a toi. Je suis fière de toi.

Il y un moment de silence un peu gênant. Le sujet va être abordé.

Malick : et... junior, c'est ton fils?

Ruby : oui.

Malick : c'est...un gentleman en tout cas. Tu ne trouve pas bizarre qu'il ai déjà une. Copine ?

Ruby : ( rire) oui. Je me suis dit mais c'est quoi cette histoire ? Mais tu sais il est devenu tout de suite mature...et s'est fait ses propres responsabilité.

Malick : son père doit être fier.

Ruby : Malick..

Malick : non ruby je ne t'en veux pas tu sais ...je savais que ça pourrait arriver. En plus je t'ai demandé de ne pas m'attendre. Tour ce que je souhaite c'est ton bonheur.

Ruby : non mais t'es fou idiot ! Il a 8 ans et tu es parti 8 ans.

Il reste silencieux un moment puis se lève subitement. Il me regarde dans les yeux. Je souris face à la tête qu'il fait . Il se mit à genoux devant moi et prend mes mains

Malick : c'est... c'est... notre fils

Ruby : oui. Malick junior est notre fils.

Malick : Ruby... j'imagine même pas ce que t'a pu vivre toute seule.

Ruby : ne t'excuse pas. Je t'ai compris. Moi aussi j'avais fait des erreurs et j'avais besoin de ma famille.

Il approche sa main de mon visage et approche son visage.

Malick : je peux ?

Ruby : oui ...

Sans attendre il m'embrasse comme si il avait gardé ça en lui pendant des années. En fin c'est vrai ça fait 8 ans. Je répond à son baisé avant qu'on se sépare.
Malick : te souviens tu de ce que je t'avais dit avant de partir ?

Ruby :....tu m'as dit beaucoup de chose...

Je le vis sourire et me regarder droit dans les yeux . Il reprend ma main et se lève m'entraînant avec lui.

Malick : je t'avais dit prête ou pas je ferai de toi ma femme.

Ruby : Malick...

Malick : ruby... Mettons fin à cette course poursuite.

Il me prend dans ses bras. Je ne pu m'empêcher de verser quelques larmes. Il me caresse doucement le dos et dit.

Malick : une diablesse ne pleure pas. Tu es ruby. Ne l'oubli pas.