3.𝙿𝚛𝚎𝚗𝚜𝚎𝚜𝚒𝚖

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Zayan

Prensesim est turc ? C'est bon à savoir. Je la trouve de plus en plus parfaite. Bon à part son côté autoritaire qui commence à me casser les couilles. Comme elle l'a fait y'a deux secondes. Ça peut aller.

Ah oui, j'ai toujours pas oublié le coup qu'elle m'a mit hier. J'ai été surpris par sa force.

Je suis en train de lui courir après, elle marche tellement vite putain, elle est presque arrivé. Elle est sortie mais elle s'est arrêté. Alors je ralenti. Arrivé à son niveau je lui attrape le poignet. Elle se retourne sourcils froncés. Cette situation me fait rire.

Moi: Je ne savais pas que tu étais turc ?

Nina: Tu n'avais surtout pas besoin de le savoir.

Si elle savait putain de merde. Si elle savait à quel point j'avais besoin de le savoir. J'aime son répondant.

Moi: Oh, crois moi que si, j'avais besoin de le savoir. Lui dis-je en abordant un sourire en coin.

Elle fronce encore plus les sourcils. Je crois la trouver encore plus belle comme ça. Oh, merde elle va partir. Je dois absolument la ramener chez elle. Désolé Prensesim, je l'a plaque contre le mur, elle émet un léger gémissement de douleur qui suffit à m'hérisser les poils.

Nina: Mais ça va pas ou quoi ?

Je m'en cogne de ce qu'elle pense, je vais la ramener chez elle.

Zayan: Que tu le veuille ou non je te ramène chez toi.

Nina: Non.

Je souris. Je m'en doutais qu'elle aillait refusé. Je me mets à toucher son doux visage. Tu as peur de l'abîmer hein. Ta gueule. Elle est magnifique.

Moi: Tu n'as pas vraiment le choix Prensesim.

Nina: Arrête de m'appeler comme ça.

Maintenant que je sais qu'elle est potentiellement turc je vais en jouer.

Moi: Pourquoi ? Je le trouve bien pas toi ? Dis-je toujours en touchant son visage.

Nina: Non. Horrible à vrai dire.

Ah oui ? C'est se que tu penses ? J'en suis sûr que dans d'autres circonstances elle aurait adoré...

Moi: Alors comment tu veux que je t'appelles ?

Je l'a voie contracter la mâchoire. Ça y est elle va craqué.

Nina: Ne m'appelle pas.

Je ris légèrement, tout en tenant fermement son menton. Elle est sacrément drôle Prensesim. J'ai envie de la manger.

Moi: À quoi tu pense ?

Nina: À ta sœur la salope.

Pardon ? Mais elle est conne c'est pas possible. Comment elle se permet de parler de ma sœur comme ça. Je vais la baiser. Je mets pression sur son menton se qui lui arrache un léger gémissement de douleur.
Va niquer ta tante.

Let me Love youOù les histoires vivent. Découvrez maintenant