One Piece : Les fennecs

Chapitre 14 : Encore des ennuies !

Chapitre 14 : Encore des ennuies !

Grâce à son agilité naturelle, Leslie n'eut même besoin de se transformer pour pouvoir se défaire des hommes qui les avaient attrapé. Elle se contenta de sauter sur l'armoire poilue en se servant des bras de ce dernier avant d'atterrir sur son dos. La noire sauta sur celui qui tenait son frère en prenant de l'élan à partir de la tête de l'autre ce qui l'assomma.
En bousculant l'agresseur, celui-ci lâcha Kito qui s'éloigna et mis ses mains sur ses armes mais l'armoire poilue se releva et cria d'arrêter car ils ne leur voulaient pas de mal. La capitaine demanda donc des explications tout en restant sur ses gardes et les deux hommes leur dirent qu'ils avaient entendue que les jumeaux cherchaient un Log Pose.
-En effet mais où voulez-vous en venir ? Demanda le sniper, perplexe.
-N'y allez pas !!
L'homme qui venait de parler se jeta sur les pieds du noir, en larme. Kito eut un mouvement de recul mais il était piégé. Il demanda donc ce qu'il avait et pourquoi une tel réaction.
-Grand Line est un enfers !! N'y aller pas ! Cette mer ne vous laissera aucun répit. Les trois quart de notre équipage y sont passé malgré la compétence du navigateur.
-Urusai (Ta gueule )! Ce n'est pas toi qui va nous dicter ce qu'on doit faire ! Cria la capitaine.
Un homme ayant deux articulations aux bras rejoignit le groupe dans la ruelle. Il avait un haut de forme bleu marine et une veste déchirée de la même couleur, l'homme portait aussi un pantalon blanc comme neige et des chaussures parfaitement cirées blanches et bleu marines.
-Capitaine !
Les jumeaux restèrent statique, attendant de voir si le nouvel arrivant était un ennemis ou un ami.
-Tenez ! Tentez votre chance mais moi, je reste sur South Blue !
Un log pose était dans la mains du bras incroyablement long de l'homme. Avec méfiance, Leslie se saisit de l'objet. Elle s'éloigna d'un pas avant d'enfin détacher son regard du pirate pour le poser sur la boussole spéciale.
-Merci... Dit la brune en dévisageant l'homme devant elle. Elle se demandais en effet pourquoi ces pirates l'aidait. Il n'avait aucun profit à faire en faisant cela. C'était louche mais la fille regarda son frère qui ne semblait pas se méfier plus que ça.
Les trois pirates s'en allèrent, laissant les deux fennecs seuls pendant quelques instants. Ils se dirigèrent ensuite naturellement vers un magasin situé non loin du port. Une boutique vendant des canons.

Fabienne et Théo s'étaient perdu dans la ville. Pas qu'ils n'avaient pas d'orientation mais cette ville était vraiment grande et labyrinthique à cause des maisons construites dans un ordre anarchique et dans des lieux étroit où l'on se demandait comment il était possible que ces habitations se trouvaient là.
Les deux nakamas arrivèrent dans un endroit large et spacieux composé de maisons sur deux étages collées les unes aux autres. Ils se regardèrent avant de soupirer : Ils étaient perdu.
Les deux amis s'avancèrent un peu plus sur la place en regardant partout aux alentours, émerveillés par ces hauts bâtiments. Ces pirates s'arrêtèrent en plein milieu de la place juste après être rentré dans un groupe de personnes de tailles impressionnante pour la majorité d'entre-eux.
Ces derniers se mirent à grogner en regardant d'un œil mauvais les deux membres des fennecs qui étaient tombé sur les fesses et qui avaient les yeux écarquillés par la peur : Ils étaient foutus.
Les deux pirates voulurent reculer mes ils se heurtèrent à encore d'autre personnes. Ils étaient complètement encerclés.
Un homme très grand, blond avec un chapeau de viking arriva avec sa hache monstrueusement géante. Elle était aussi grosse que la tête de quatre personnes, à double lame et de couleur argentée, elle n'en étaient que plus impressionnante. L'homme tenait sa hache posée sur le sol par son manche, parfaitement à la verticale. Le blond pencha son tronc en avant pour se retrouver au dessus des nakamas.
-Je suis désolé ! On va s'en aller maintenant ! Dit le médecins en se relevant et en ayant attrapé Fabienne par l'un de ses bras avant de commencer à reculer sans arriver à cacher sa panique. Malheureusement, les gens autour d'eux ne semblaient pas vouloir les laisser partir.
-Où allez-vous comme ça ? Savez-vous où vous vous trouvez ? Demanda le viking, un sourire sadique sur ses lèvres fines.
Théo bredouilla un "non" qui fit éclater de rire l'homme vite suivit par les autres.
-Vous êtes sur MON territoire. TOUT ici m'appartient, à MOI le grand capitaine Blörn Almut ! 
-Cap'taine ! Cap'taine ! Cap'taine ! Dirent ensemble chacun des membres de l'équipage de cet homme.
Tout a coup, le blond battis comme un ours rabattit son arme qui se fit esquivée par le blond battis comme une cracotte et par Fabienne. Ce coup fut le départ de l'ataque de l'équipage des « normands ».
Sans issue, les deux camarades décidèrent de se battre. L'heure était à l'affrontement. Ils esquivaient les attaques ennemis avec difficulté et tentaient tant bien que mal de lancer des offensive mais n'y parvenaient pas au vue du nombre impressionnant des pirates. Théo fit le rapprochement avec la galion vue plus tôt. Le médecin se prit un coup d'épée horizontale au niveau du ventre. Comme il esquiva la grande partie de l'attaque, il ne fût que blessé superficiellement mais la femme-poisson avait baissé sans intention et s'était pris un coup de massue qui la fit perdre l'équilibre et tomber par terre. Les hommes autour d'elle la ruaient de coups. Ils allaient perdre, c'était la fin pour eux...