Affaire numéro 17

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Ce fut au tour du Malefoy de s'en fuir (NDA tout en restant classe bien sûr )de l'ascenseur, laissant pantoise une Hermione totalement perdue.

Plusieurs jours passèrent, le dossier Sybille-Jane était entrain de glisser des mains d'Hermione. Drago avait redoublé d'ardeur et ne traitait plus que la Gryffondor comme une collègue banale. Être ignorée de cette façon laissait un goût d'amertume chez l'avocate.
Elle soupira... Pourquoi devait-elle s'inquiéter de cela ? Elle devrait être contente que la fouine lui foute la paix, non ?

Le prochain rendez-vous de Jane était placé un vendredi. Vendredi qui arriva bien trop vite au désespoir de Granger.

-Bonjour Maître Granger.
-Bonjour Jane, asseyez-vous, salua Hermione l'air grave. J'ai quelques mauvaises nouvelles à propos de l'argent...

Bizarrement, la cliente lui sourit tendrement.

-Oui moi aussi, je ne veux plus que vous vous inquiétez de l'héritage monétaire.

L'avocate eut un sursaut de surprise et s'apprêta à parler lorsque Jane lui fit signe de se taire.

-Laissez-moi vous expliquer, ce que je veux vraiment c'est mon piano. J'ai revu tout les biens à céder et j'ai réalisé que sans ceux-ci je pourrais très bien vivre: mon entreprise de musicologie magique ayant fait un boum économique durant ces deux dernières semaines. C'est pour cela que je change ma requête : Maître Granger, je vous demande de récupérer mon piano quelque en soit la contrepartie.

Jane fit une pause et reprit :

-Et bien sûr, ceci reste entre vous et moi... Il me semble que vous avez un pari avec Maître Malefoy n'est-ce pas ?
De cette façon, vous finirez égalité, je crois.

Un air taquin vint s'étaler sur le visage de la blonde alors que la brune vivait un choc sans précédant.

-Je ne sais pas...
-Acceptez Maître Granger, je vous apprécie. Non pas pour votre renommé mais pour votre façon d'être qui d'une certaine manière m'a fait réalisé que l'héritage même moindre ne me ferait pas perdre mes souvenirs.
-Je ...Je vais accepter. Et Jane, appelez-moi Hermione.
-A la conditions que tu me tutoies, je n'ai que trente-deux ans.

Un rire commun emplit le bureau et un soulagement intense rendit sa bonne humeur à l'avocate. Les femmes se mirent ensuite à parler de tout et de rien comme pour sceller cette nouvelle amitié.

De son côté, Drago était plus que content de son travail. Il avait réussi à ignorer la belle brune et à grandir le fossé de l'affaire en commun. Oh ! Et son ego avait reçu un coup de pouce énorme lorsque l'envoutante Sybille se mit en tête de le séduire. Le Serpent se dit que ce serait un bon coup du soir pour fêter sa victoire dans le dossier.
Un rictus narquois marqua ses lèvres.
De plus, il venait de recevoir la visite de son supérieur qui le félicita pour ses victoires dans d'autres affaires.

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Chapitre plus court car je me dois de couper là et garder la suite dans un seul chapitre désolée
Je vous aime !

Le Diable d'Avocat (Dramione)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant