Et puis soudain, j'ai grandi ....

Une idee de ju

L'été tirait à sa fin, dans quelques jours il faudra retourner retourner sur Bordeaux.

- tu as commencé tes valises cass ?

- oui Tom ne t'inquiètes pas , je serais prête pour lundi.

- non cass on part vendredi soir .

- mais pourquoi?

- tu prends le lycée mardi prochain, tu n'as pas acheté tes livres ni tes fournitures, donc je t'emmène samedi pour
S'occuper de tout ça.

- par ce que c'est toi qui vas gérer ma rentrée?

- et oui poulette, tu prends le 2 et moi le 15 donc tu vas m'avoir sur le dos pendant 2 semaine à la maison.

- je meurs et qu'est ce que j'ai fait pour mériter une telle punitions?

- très drôle , mais rassures toi , les horaires du lycée sont plutôt cool surtout en seconde, tu auras donc tout le temps nécessaire pour me faire des petits plats.

Cassandre lui balança les coussins de son lit en riant

- dégage de ma chambre assisté, je me ferait a manger a moi et pas a toi

- et à ju ?

- quoi ju ?

- ben ouais , quinze jours de baby sitting , je tiendrais pas sans me faire une soirée pote.

- je serais gentille avec ju, je passerai le coup fil pour commander les pizzas que tu paieras bien soir.

- sale garce, Tom se rua sur sa sœur pour la chatouiller et leurs éclats de rire résonnèrent dans toute la maison.

- allez lâché moi , frérot d'amour , j'ai promis à Marie d'aller au marché du village avec elle , et celia doit t'attendre.

Tom regarda sa montre

- et merde, je vais être en retard et elle vas faire la gueule.

- rattrape toi , offre lui des fleurs.

- parce que tu vois un fleuriste ici toi ?

- mais non un joli bouquet de pâquerette ça fait toujours son effet

- ouais je vais avoir l'air d'un con , mais ton idées est bonne, éclate toi bien avec ton gremlins , dit il en sortant

- elle s'appelle Marie , gros con.

Marie sortit de la douche tandis que Cassandre remet ta sa chambre en ordre.

- je vous ai entendu tu sais .

- désolée pour mon frère , il aime bien te charrier c est tout.

- ah non ça je m'en fous, moi aussi je le charrie souvent, je voulais parler de vos rire. Ça fait tellement de bien de t'entendre rire comme ça, en faites vous avez une complicité de malade.

- nous nous sommes beaucoup rapprochés cet ete c'est vrai mais cela reste compliqué entre nous, tom c'est une vraie mère juive.

- oui ça je sais , mais moi je donnerais tout pour que mon frère m'aime autant que le tien.

- t'as pas de grand frère ma petasse

- casse pas mes rêves tu veux, moi je veux un frangin comme le tien.

- si tu veux je te le prête pendant les quinze jours qui viennent, tu verras après ça , tu vas pas regretter d'être fille unique.

- ah non alors j'ai dit que je voulais un grand frère comme Tom, mais pas Tom , tu nous laisses cinq minutes dans la même pièces tout seul, on s'étripe .