New Town ~ 1D Fanfiction

Chapitre 14 : "Je.. Je t'aime, June."

PDV LOUIS

Eh merde. J'suis con putain. Pourquoi j'ai pas réfléchi avant de parler, merde! J'viens de tout détruire, j'veux pas qu'elle souffre, j'veux pas qu'elle me prenne pour un connard, jnveux pas qu'elle ne me parle plus.
Une goutte d'eau perla le long de mon visage, je pleure.
Je pleure pour une fille, une fille qubje ne connais que depuis hier, mais putain qu'est ce qu'il se passe dans ma tête ?! J'ai jamais pleuré pour une fille auparavant, je crois même que je n'suis jamais tombé amoureux, j'ai ma fierté personnelle qui me dit tout le temps de cacher mes émotions que ce soit la tristesse ou l'amour, mais elle c'est différent, elle illumine ma journée dès que je pose le regard sur elle, elle me fait sourire sans même lui parler, elle me rend fou, et penser ne serait-ce qu'une seule seconde que j'ai pu tout foiré en l'espace de quelques minutes de fait sortir de mes gonds. Je décida de rentrer chez moi.
Je trainais les pieds dans la rue, de la musique à fond dans les écouteurs, je déprimais, littéralement, je n'me suis jamais sentit aussi triste avant. La chanson était "So Cold" de Ben Cocks.
Arrivé dans mon quartier, je passa devant la maison de June, je baissa la tête, c'est alors que j'eu une idée.
Je me précipita dans ma maison et couru dans ma chambre, je sortis un tes short noir, une veste de costume grise et un jean noir. Je me recoiffa et enfila ces vêtements. (Voir média)
Je partis par la suite acheter une rose en ville, une fois l'achat fait, je fis marche arrière vers la maison de June, sonna et attendit une réponse. Je perçu un vague "J'arrive!!" et cacha la fleur dans mon dos.
June ouvrit la porte, me vit et me dévisagea de haut en bas.

- Dégage! Lâcha-t-elle méchamment.

Ça commence bien...

- Écoute je suis sincèrement désolé.Je ne pensais vraiment pas ce que j'ai dit tout à l'heure, je sais pas ce qu'il m'a pris, je.. Je t'aime June.

Elle équarquilla les yeux, et ria aux éclats.

- Il n'y a rien de drôle. Dis-je.

Elle pris la parole à son tour, portant un sourire malicieux sur ses lèvres, je le sens mal...

- Si, c'est tellement drôle, Louis! Je ne t'aime pas, ahahah. Ce changement de situation! Ahah! C'est à toi de pleurer maintenant. Je n'veux plus rien avoir à faire avec toi. Crève, disparais de ma vie, tu n'es rien pour moi. Casse toi sale merde.

Et elle claqua la porte. La tout mon monde venait de s'éffondrer.
Peut être qu'elle a raison, je ne mérite sûrement que la mort.
Ouais, ça doit être ça.
Crever.