Il y a vraiment que moi qui suis capable de me perdre dans une ville que je ne connais pas. J'y peux rien si je fais partie de ces personnes qui aiment marcher en téléphonant. Mais oui ! Je suis bête, j'ai juste à téléphoner à Sam et il viendra me chercher.
C'est au bout de la deuxième sonnerie qu'il finit enfin par décrocher, peut être trop passionné par sa conversation avec l'autre blonde.
"Allô ?"
C'est elle qui répond à son téléphone maintenant ?!
"Ouais Lily, hm je me suis perdu, vous voudriez pas venir me chercher ? Je suis près d'un resto italien qui s'appelle "bella pizzeria""
"Ooh tu t'es perdu ? Mince alors. Débrouille toi. Et n'essaye pas de rappeler Sam parce qu'après ton appel, son téléphone sera éteint, allez salut."
Je rêve là ? Je sais désormais que son sourire était vraiment faux, et qu'elle me la fait à l'envers. La garce, pour une fois, je suis de ton avis conscience.
Comment je vais faire ? Je pourrais aller demander au passant, ouai c'est ce que je vais faire. Alors que je m'apprêtais à intercepter quelqu'un, je sentis quelqu'un tirer mon bras.
Je me retournais brusquement pour découvrir un homme cagoulé qui convoitait sûrement mon téléphone présent dans ma main. Je me débâtis violemment ce qui fît tomber l'appareil et l'exploser par terre. Je relevais la tête vers l'homme, choquée, mais il courrait déjà dans la direction opposée. Alors qu'il s'éloignait, il retira sa cagoule, et je pus remarquer des boucles brunes s'échapper du bonnet.En reprenant mes esprits, je remarquais que quelques personnes s'était approchés de moi.
"Est-ce que ça va mademoiselle ?"
Je tournis la tête pour découvrir un brun plutôt mignon, et de ton âge me regarder avec insistance.
"Je.. Euh oui. Oui ça va" Je ne sais pas si c'est sa beauté ou le choque de ce qui m'est arrivé qui me trouble. Tu as un copain, tu as raison je ne devrais pas avoir ce genre de pensées.
"Voulez vous que j'appelle la police ?"
Alors que j'observais peu à peu la masse de personnes se dissoudre autour de moi, je reportais à nouveau mon attention sur le charmant brun.
"Non pas la peine, il ne m'a rien volé et je pense que mon téléphone n'a rien."
Je ramassis l'objet pour découvrir une immense fissure qui le traversait. Aïe, ça c'est pas cool, je me mordis la lèvre, puis tenta de l'allumer. Alléluia ! Il fonctionne toujours ! Soulagée, je relevais la tête pour découvrir le sourire timide du garçon en question.
"Moi, c'est Mayden" lui dis-je avec un sourire sincère.
"Enchanté, moi c'est Liam."
Il a un sourire vraiment mignon, vas y demande lui son numéro ! Non ! Chaque chose en son temps.
"Je suis nouvelle ici et je me suis perdue, tu ne saurais pas comment te rendre au Starbucks le plus proche ?"
"Si si, bien sûr ! Je t'accompagne si tu veux."
"Dans ces cas là, je veux bien alors"Durant le trajet, Liam me raconta qu'il étudiait à l'université de sport qui se trouve à seulement 10 minutes en voiture de la mienne. Tiens il faudrait que tu t'achètes une voiture aussi. Il m'a aussi confié qu'il ne vivait pas sur le campus mais dans un appartement qu'il tient en colocation avec un type qui se nomme Niall. D'après lui c'est un gars sympa, que je risque de rencontrer car lui aussi se rend à l'université d'histoire. C'est lorsqu'il m'expliqua que sa famille vivait à Londres que je me rendis compte que nous nous trouvions devant le Starbucks.
"Tu veux boire un café ?"
Je pouvais facilement remarquer l'espoir dans ses mots.
"Non désolé, mon copain m'attends à l'intérieur."
"Ooh" Il semble déçu. Déçu de ne pas pouvoir prendre de café ou déçu que j'ai un copain ?
"Je te promets qu'on ira le prendre un jour ce café, donnes moi ton numéro, et je t'appelle ce soir"
"D'accord je te laisse alors, à plus !"
Après un furtif baiser sur ma joue, il tourna les talons et disparu dans la foule.Je remercie une amie proche qui continue de m'encourager et de me soutenir pour continuer cette fiction. J'ai actuellement écrit 8 chapitres, je comptes les poster petit à petit pour voir si ça vous intéresse ou non avant de continuer d'écrire. Merci de me lire, bisous !
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Apparences.
FanfictionIl ne faut jamais se fier aux apparences. Elles sont parfois trompeuse. Il était comme un papillon attiré par la lumière. Il pensait que j'étais la lumière. Il ne se doutait pas que je l'entraînais vers les ténèbres.