chapitre 8

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Deux semaines c'était écroulées depuis la nuit de la cérémonie. J'avais été étonné de voir que ma morsure de marquage avait disparue. Je n'en avait pas parlé à Hunter, pour ne pas qu'il s'inquiète. Je n'avais pas revue Alpha Antoine ou les deca de la meute. Je passais mon temps à aider Roseline et en échange, elle m'apprenait plusieurs choses essentiel à connaître sur mon espèce. Hunter,lui, il était souvent parti ce qui faisait en sorte que quand j'avais fini d'aider Roseline, je m'ennuyais énormément. Après mur réflexion, Hunter avait accepter que je puisses me promener sur le territoire en ôtant que je ne dépasse pas les limites du territoir. J'avais penser à m'enfuir, je détestais cette meute plus que tout. L'Alpha est un monstre pur et les autres membres me regardais toujours de haut, à croire qu'ils étaient meilleurs que moi. En faite c'est un peu le cas, je n'étais qu'une simple oméga sans talent dans cette meute. Une chose était sur, je ne me sentais pas à ma place. Après ces deux semaines à me promener un peu partout, j'avais localisé un endroit fantastique. Il était situer à l'est du territoire, proche de la limite. Je passais mon temps là. Dansans le creux des montagnes, un lac à l'eau transparente et entourer d'une verdure plus qu'éclatante! J'adorais passer mes temps libre là, ça me permettais de retrouver un semblant de liberté pour quelque heure.

Aujourd'hui, comme à tout les jours, je me lève, saute dans une douche et m'habille d'un pull blanc avec un Jean bleu foncé taille haute. Nous sommes au mois de septembre et par chance nous n'avons pas de neige dans ce territoire, je déteste la neige. Elle ne fait que nous attirer des problèmes, la nourriture ce fait plus rare, nous sommes toujours geler malgré notre épaisse fourrure et ça nous prend beaucoup plus d'énergie qu'à l'habitude quand nous voulons courir. Nous n'avons qu'à endurer la température, mais pour moi ça me va amplement! Je descend en bas comme à chaque matin. Par contre, aujourd'hui, j'ai la grande surprise de trouver un Hunter entrain de boir une bonne tasse de café brûlant et non une Roseline entrain de faire de la nourriture. Je m'avance vers lui et lui fait un gros câlin. Ah oui, j'avais oublier de mentionner que durant ses temps libre qui sont assez rare, moi et Hunter se sommes beaucoup rapprocher! C'est aussi pour cela que j'ai décider de rester. Je ne pourrais plus me passer de son beau sourire et de son odeur réconfortante. Ça peu paraître débile, moi qui le détestais la première fois que je l'ai vu, mais faut croire que en apprenant à le connaître, j'ai découvert une autre personne. Faut dire aussi que Roseline et lui sont les seules personnes qui prennent soin de moi et qui m'apporte un peu d'importance.

Hunter se lève et me donne un petit bisou sur le front. Je lui fait un beau sourire et prend la parole.

Moi:"Bon matin!"
Hunter:"Bon matin ma puce! Tu veux manger?"
Moi:"Non, je n'ai pas très faim et je préfère attendre et aller chasser tantôt!"
Hunter:"Je pourrai venir avec toi, j'ai congé aujourd'hui. On pourrais en profiter pour passer la journée ensemble?"
Moi:"Oui, j'adorerais ça! En plus, j'aimerais te montrer un endroit que j'ai découvert à force d'explorer votre territoire."
Hunter:"Notre territoire Rox, tu fais partis de la meute maintenant!"
Moi:"Ah oui... C'est vrai désolé."
Hunter:"Ne soit pas désolé pour ça! Aller, prend toi un manteau, car il annonce très froid aujourd'hui et rejoind moi dehors! Tu me montrera ton endroit!"
Moi:"D'accord, je me dépêche!"

Je me prend donc un polar et rejoind Hunter qui est déjà sous sa forme lupine. Ah oui, les loups-garou ne perdre pas leur vêtement quand ils reprennent leur forme humaine. Même Roseline n'était pas capable de m'expliquer pourquoi, c'est à croire qu'il disparaissent quand on se transforme en loup et réapparaisse quand nous redevenons humains. C'est un autre mystère à propos de nous. Je me transforme à mon tours et je prend les devant. Après un bon vingt minutes à courir, on arrive dans mon endroit!
Hunter reprend sa forme initiale, celle d'humain et me regarde intriger. Je fais de même et le regarde à mon tour.

Chronique d'un loupOù les histoires vivent. Découvrez maintenant