Chapitre 22

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Je ne m'étais jamais demandé comment est-ce que j'allais mourir, mais mourir à la place d'une personne qui m'ai chère me parait une fin enviable.
Je suis allongé par-terre, a se qui me parrais du bitume. Je ne sais plus ce qu'il s'est passé, je n'est plus la force de me souvenir. Ma vue est trouble, je voie des formes, que je devine être des visages humain. Je vois des lumière bleu, il y a les pompiers. Mon ouï est embrouillé, j'etend des voix... comme si elle essayer de me parlé mais n'y parvins pas car elles sont trop loin. J'entends de vague sirène, j'ai l'impression qu'il y a aussi la police.

Je sens mon coeur me lâché... La mort est comme un train qui arrive en gare et que tu te sentais obligé de monté dedans.

Bella avez raison, la mort est douce, paisible, agréable...

L'amour de LarryOù les histoires vivent. Découvrez maintenant