L' adolescence

chapitre 19.

Je me réveilla ce matin en panique suite à un bruit sourd. Quand j'ouvris les yeux je vis que Sam était la tête contre le mur et l'air grave.
-sam qu'est ce qu'il se passe.
C'est à ce moment que je vis mon portable éclater par terre.

- tu allais me le dire quand. Fit-il assez durement.
Je savais de suite de quoi il parler à cet instant et je sentis que la journée n'allait pas être si bonne.
-sam..
-quand M hurla t-il.

Face à une telle agressivité je me tétanisée jamais je l'avais vu dans une telle colère.
-je ne savais pas comment te le dire Sam et je ne voulais pas gâcher ce que nous étions entrer de créer. Fis je doucement.
-donc tu t'es dit vaut mieux qu'il la prenne par mon portable et Dean.

Merde mon frère avait du parler à mes parents et m'avait envoyer la réponse.

-je ne l'avais pas prévu Sam.
J'essayais de m'approcher de lui mais il me repousser en un regard.
ecoute moi s'il te plaît ce n'est pas sur on fait notre possible pour ne pas que je parte. Tu crois que j'en ai envie.
Je sentais les larmes qui allaient couler et face à tant de haine ça ne m'aider pas.

- tu m'as menti sans hésiter deux fois amanda et en me regardant dans les yeux, je pensais pouvoir te faire confiance mais tu n'es pas différente.
-arrete je t'en pris Sam tu sais que je ne voulais que te protéger. Je t'aime Sam.
J'avais lâcher ces trois mots à l'instant même car d'une je le savais depuis le début que j'ai poser mes yeux sur lui et de deux car je sentais que je le perdais. Il ne me regardais pas et fixer la porte alors que je venais de lui avouer mes sentiments.
-part amanda, retourne en France.
Voilà ce que ce crétin venait de répondre à mon je t'aime. Bien sur il est sorti aussitôt de ma chambre et je suis tomber au sol en pleurant. J'étais complètement anéantie, j'aime ce garçon et lui me repousser après la nuit que nous avions partager. Ça me détruisez.

Au bout de plusieurs heures j'imagine ou mon frère n'a pas eu de réponse il est venu voir directement à ma chambre. N'ayant pas bouger du sol recroquevillée sur moi il se jetta à côté de moi.
-oh non cherie ne te met pas dans cette état. J'étais triste, je me sentais trahi et en colère.
-c'est de ta faute, je l'ai perdu il ne veut plus me voir parce que je n'avais pas le courage de lui en parler et toi il a fallu que tu envoie un putain de message pour m'annoncer que je devais rentrer.
Il me regarda sans rien dire comprenant certainement que je parler sous l'effet de la colère et c'était le cas. Il m'annonça après plusieurs heures à être rester au sol que mon père me voulait en France pour la fin de la semaine. Il me rester donc cinq jours ici.