l'héritage maudit

Une si longue lettre...

- Une seconde, cette datte, elle pourrait être le code du coffre. Sa ne peut pas être une coïncidence, elle m'a donné le code avant de mourir et a dit que c'était un secret.

Assise en tailleur sur mon lit, j'essuie mes larmes et commence à mettre ce que je crois être le code du coffre. Après avoir tout saisi, les chiffres étaient de couleur verte ce qui signifie la plupart du temps que c'est juste et mon intuition était la bonne parce que le coffre s'est ouvert automatiquement. Il y'a deux longs parchemins là-dedans les uns plus poussiéreux que les autres alors je pris la moins sale puisqu'on a écrit dessus 1. Je la pris, la déplie et ainsi je découvre qu'elle était vraiment longue. C'est bizarre que je m'en rappelle je sais mais ce sont les écritures de ma tante.

- Alors voyons voir ce qu'est ce secret, m'exclamais je en commençant à lire :

                                                                                      Ma chère Kate,

je suis désolé de ne pas te l'avoir avoué plutôt que j'allais mourir, oui je le savais mais tu étais trop jeune pour te le dire comme sa en voyant à quel point tu tenais à moi. Je savais que tu te souviendrais de cette datte, heureusement pour moi. Aujourd'hui tu dois avoir 15 ans et je te souhaite un joyeux anniversaire et beaucoup de bonheur; j'espère que ces idiots t'ont donné le coffre le jour de ton anniversaire. Je vais te dire quelque chose de très important ma chérie que tu vas garder pour toi. C'est horrible comme cadeau mais je n'ai pas le choix parce qu'il ne m'aurait jamais laissé te le dire de mon vivant, ils pensent que, comme tu es un enfant, tu irais le dire à tout le monde ce qui salirait le nom de la famille, que nos ancêtres n'ont jamais été confrontés à un tel dilemme, mais maintenant je peux le dire puisque je ne suis plus de ce monde et que tu n'es plus un enfant : Kate, je suis désolé de t'annoncer que tu as été adoptée enfin trouvée qui serait le mot le plus approprié pour ton cas. Ç'aurait été moins dur pour nous tous de te cacher la vérité parce que c'est clair que ta mère ne te le dira jamais et fera tout pour que tu ne doutes jamais de tes parents mais tu as le droit de savoir et je suis sure que tu as un rôle à jouer dans tout sa. 

Je suis la seule dans la famille à savoir qu'on t'a donné à moi et par quoi parce que c'est moi qui t'ai amené dans la famille. Il y'a 5 ans, je me baladais dans la forêt de Haven et c'est au milieu des bois que je t'ai trouvée dans les bras d'un individu qu'on ne peut caractériser d'être humain parce que volant à quelques mètres du sol avec ses longs ailes noirs, me regardant avec des yeux noirs, ses cheveux et ses habits étaient de la même couleur et il avait deux cornes rouges plantées de chaque côté de la tête. J'avais peur parce qu'il ressemblait exactement à ce qu'on pouvait appeler un démon dans les films. Mais je ne pouvais bouger, ébahie par cet enfant ayant l'air humain qu'il tenait dans ses bras. C'est au bout d'un instant que j'ai compris qu'il me parlait et il disait d'une voix rauque que je devais m'occuper de l'enfant qu'il tenait, de toi et qu'il viendrait te reprendre quand le moment sera venu. Comme il avait compris que j'avais peur de m'approcher, il t'a posé par terre avec cet autre parchemin dans le coffre et un anneau en or. Puis il continua à parler en disant que je devais te donner ces deux choses quand 15 années seront passées . De ces mots, il pivota et se dirigea en haut vers le Nord et moins d'une minute après, il avait disparu de mon champs de vision. C'est à ce moment que je me suis approché de toi et t'ai pris dans mes bras; tu étais belle et adorable et lourde aussi mais en fait non, le truc qui t'a amené à moi avait mis dans ta couverture des pièces en or, des diamants... tout ce qu'il y'a de plus chère. Ne pense pas que je t'ai accueilli parce que j'avais besoin d'argent ou parce que j'avais peur mais parce que la première fois que je t'ai vu, je t'ai aimé comme l'enfant que je n'ai jamais eu.

A l'époque, on habitait à Haven. Notre famille n'était pas aussi riche que sa mais on se débrouillait puisque nos ancêtres, eux, étaient riches. Quand je t'ai amenée à la maison-