♡Chapitre 16♡

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/!\ Lemon, violence /!\

MinHo : Tu vas le payer cher ça m'a p'tite.

Sa main vint se plaquer contre mon cou, il me leva jusqu'à ce que mes pieds ne touche plus le sol.
J'avais peur, peur de ne jamais sortir d'ici, peur de ce qu'il pouvait me faire.
Ma respiration devint difficile, mon visage rougit sous le manque d'oxygène croissant. C'est finit. J'allais mourir.
Je fermais les yeux pour penser à mon père, j'allais le retrouver. Quelques larmes tombèrent sur mes joues à présent violettes.
La pression se relâcha et je tomba brusquement au sol. L'air s'engouffrait violemment dans ma poitrine ce qui me fit tousser. Mes mains vinrent entourer ma gorge par reflex tandis que j'essaye de calmer ma respiration saccadé.
Minho s'accroupit devant moi.

Minho : Ne crois pas que parce que je t'aime je ne peux pas te faire de mal. Un jour tu me remerciera.

Je restais assise, silencieuse et lui lançais un regard plein de haine.
Minho fit glisser ma bretelle de soutien-gorge le long de mon épaule.

Minho : Tu n'as pas besoin de ça, tu sais j'adore te voir en tenu d'Ève...

Ma main se déplaça rapidement pour s'écraser contre la joue de mon interlocuteur.
Je savais que j'allais devoir le payer mais malgré la peur, je me fichais des représailles. Je suis pas une victime, je n'aime pas qu'on me dicte ce que je dois faire ou non, porter ou non...
Minho me saisit par la taille pour me porter comme un sac à patate, emprissant mes jambes dans ses bras.

Moi : Lâche moi! Minho pose moi toute suite!

Je tambourinais son dos dans l'espoir de lui faire mal.

Minho : Tais toi femme.

Il accompagna ses mots d'une tape sur mes fesses.
Je criais de toute mes forces espérant l'énerver pour qu'il me pose à terre.
On arriva dans une pièce que malheureusement je connaissais. Minho me jeta sur le matelas de mon réveil. S'assit sur mon bassin et empoigna mes mains au dessus de ma tête. Il entreprit des baisers papillons qui partaient de mon cou pour arriver à ma poitrine. Je me débattais comme je pouvais sans grand succès. Minho sortis de sa poche une paire de menotte qu'il fit passer derrière un barreau du lit avant d'y capturer mes mains. Il se débarrassa de mon soutien-gorge sous mes cris de refus.

Minho : J'aime entendre ta voix d'habitude mais là tu deviens trop bruyante.

Minho se leva et quitta la pièce pour revenir quelques minutes plus tard avec un rouleau de gros scotch gris en main. J'augmentais les décibels au fur et à mesure qu'il approchait. Il déchira un gros morceau, m'ecrasa la mâchoire afin de fermer ma bouche et me colla le scotch dessus.

Minho : Beaucoup mieux. Pardonne moi mon ange mais ta voix stridente n'est pas des plus agréable.
Moi : Mffmm hmmff mmhff !
Minho : *pose un doigt sur ma bouche* Chuuut mon ange, tu risque de t'épuiser rapidement. Je sais que tu me désire mais patiente.

Espèce d'enculer! Si tu savais tout ce que je pense de toi là à l'instant ! C'est tout sauf du désir crois moi salopard !

Il s'assit de nouveau sur mon bassin et parcoura mon ventre avec ses mains pour arriver au niveau de mes hanches.
Il se releva légèrement me retira ma culotte. Quand il commença à balader ses doigts près de mon intimité je lui infligea un coup de genou dans sa mâchoire. Il s'écarta et plaqua sa main sur sa partie endolorie.

Bien fait pour ta gueule connard!

Il s'approcha, le regard noir, et écarta violemment mes jambes.

Minho : Je comptais te donner du plaisir, mais puisque que tu le prends comme ça je ne te ferais pas de cadeau!

Le brun saisit mes jambes pour les emprisonner sous ses aisselles de chaque côté. Il pénétra en moi sans préparation. Je contractais mon vagin sous la douleur et la peur. Minho commençait de rapidement vas et vients qui me brûlaient les chairs à chaque passage.
Mes cris de douleurs restèrent bloqué dans ma bouche et quelques larmes glissèrent de mes yeux.
Le coréen continuait d'entrer et sortir en moi. Chaque allé et venu était une torture qui blaissait mon intimité, il n'y avait aucun plaisir, seule la souffrance dominé ces ébats.
Mon visage se tordais sous la douleur insupportable tandis que Minho gémissait de plaisir.
Je pleurais toujours. J'avais honte, j'avais peur, je le haïssais.
Cela dura encore quelques minutes avant que mon violeur ne se déversé en moi, il retira sa virilité et je découvris qu'elle était recouverte d'un liquide rouge. Il m'avait complètement déchiré de l'intérieur.
Il passa une main sous mon menton.

Minho : La prochaine fois tu réfléchira avant d'être désobligeante envers moi...

Il arracha violemment le tissus collé à ma peau. Je criais mais Minho étouffa rapidement ses cris par ses lèvres collé contre les miennes, je voulais le mordre à nouveau, lui faire autant de mal qu'il m'a fait malheureusement il se retira de ma cavité bucal avant.

Moi : Jamais je ne serais ta soumise! Tu ne mérite aucun respect connard! Vas chauffer des putes elles seront plus docilent que moi!
Minho : Ne t'inquiète pas mon ange, je t'apprendrais à être une bonne femme.
Moi : Je ne serais pas ta femme et encore moins ta petite amie, je te hais Minho jamais je ne t'aimerais!

Le brun n'écoutait pas mes paroles et sortait de la pièce en fermant la porte à clefs.

Bah oui bien sûr ferme la porte à clefs suffit que j'arrive à enlever les menottes... Espèce d'idiot!

Je commençais à avoir froid, la pièce était complètement fermé, la nuit commençait à tomber et j'étais allongé sur le lit sans vêtements ni couvertures.

Moi : Appa (Papa)... Parfois je t'envie tu sais...

Soufflais-je dans un sanglot. Mon corps tremblait et je me recrocvillais pour me réchauffer un peu sur le matelas sale qui contenait quelques tâches de sang et de sperme qui avaient coulées.
Je fermais mes yeux humide tenta tant bien que mal de m'endormir dans cette position peu confortable.

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Voilà un petit rebondissements parce que j'avais envie x)
Laissez vos p'tits com' plz
J'vous aimes ❤❤❤

#ANCS

Hopeless.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant