Je n'ai jamais aimé autant
Avec toi, j'en perdais la notion de temps
Je croyais que c'était pour toujours
Puis tu m'as dit avoir cessé de m'aider un jour.
Tu as brisé mon coeur en mille éclat
Et cela je ne te le pardonne pas.
Tu as piétiné mes désirs et mes rêves,
Comme si je n'étais rien, une gamine mièvre.
J'avais tout quitté pour toi, en espérant
Qu'en semble serait mieux que sans.
Quand tu l'as embrassée, tu m'as trahie !
Comment pourrais-je te pardonner cette félonie ?
En réalité, tu n'as jamais pu m'aider
Tu t'es seulement amuse à me tromper.
Tu n'as rien d'un homme, tu n'es qu'une bête.
Tu n'es qu'un monstre assoiffé de conquêtes.
Ne dis jamais que tu aimes, à l'avenir
Ou ma vengeance s'abattra sur toi pour te punir !
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Méditations évanescentes
PoesíaAu fil des jours, des émotions, des sensations, des doutes et des non-dits. Un peu de poésie, sans prétention, juste écrite avec le coeur et un peu d'imagination.