Unstiteuf : Let's try together

I don't like Alcohol

« Black, t'a dit que t'arrêtais de fumer merde » Dit un mec que je ne connais pas et dont le prénoms m'échappe totalement, clope au bec.

« Bah éteins ta clope et j'allume pas la mienne ! » Rétorque Black, un peu éméché.

« Mais j'ai jamais promis d'arrêter de fumer, moi ! » Répond le mec bourré en se levant.

« BAH VA FUMER DEHORS AU LIEU DE ME DONNER ENVIE » Dit Black en balançant sa clope, pas allumer, au sol et se dirigeant vers le gars pour essayer de lui voler son précieux tabac.

Du coin de l'oeil je vois Unster, qui n'a pas trop bu, parler à une amie de Black dont je me fous du prénom. Cette dernière n'est pas particulièrement belle mais elle n'est pas laide, et surtout...

Elle a des seins é-nor-me, comme des ballons de foot. Je sens la jalousie couler dans mes veines et j'ai trop bu pour l'empêcher de prendre possession de mon corps. Je me dirige donc vers eux et entoure les épaules d'Unster de mon bras droit.

« Bonjooour ! Alors ça drague ? » Je demande avec un sourire béat en regardant la jeune fille. Je vois ses joues devenir très rouge et je comprend que j'ai vu juste. Cette connasse drague mon Unster.

« Oh non, j'essaye juste de la convaincre de rejoindre la UnsterArmy » Répond l'homme que je tiens en tournant sa tête vers moi et en m'adressant un sourire énorme et sincère. J'ai tout le mal du monde à m'empêcher de me pencher pour faire emprisonner ses belles lèvres par les miennes. Je décide donc de le lâcher à contre cœur et déclare :

« Dans ce cas ça va. Parce que tu es MON Unster, hein ! » Je dit avec une voix d'enfant qui boude. J'ai conscience d'être complètement bourré mais je ne peux pas empêcher mes réactions. J'ai l'impression d'être seulement le spectateur de ma vie et j'ai peur d'assister à un drame. Je vois Unster sourire encore plus si c'est possible et me dit que finalement ça pourrait très bien se passer.

« Qui veut faire un action vérité avant qu'on s'en aille ?! » Clame une fille blonde en se levant.

S'en aller ? Déjà ? Je jette un œil a mon portable et remarque qu'il est en effet plutôt tard, deux heures du matin... Je survole la salle du regard, nous ne somme plus que sept... Tout les autres sont déjà partie ? Je vois tout le monde s'asseoir sur le canapé et je décide de suivre le mouvemente t de m'asseoir très très vite au coté de Unster avant que la connasse au ballons de foot ne le fasse à ma place. A coté d'Unster se trouve le mec qui fumais. En face, assis par terre, se trouve Black, qui est à coté d'un mec roux, qui lui même est à coté de la fille blonde. Je sens le canapé s'affaisait juste à ma droite, je tourne donc la tête et remarque que Miss ballons de foot s'est assise à coté de moi. Je résiste à mon envie de siffler comme un chat en colère pour lui dire de dégager et détourne simplement le regard.

« Je commence ! » Clame la fille blonde. « Antoine, action ou vérité ? »

« Vérité . » répond le fumeur. Le fille blonde semble déçue et réfléchis quelques secondes avant de poser une question totalement banale. Je me déconcentre un peu du jeu, ça fait longtemps que je ne suis plus lycéen et j'arrive mal à comprendre les délires. Je préfère accorder toute mon attention a l'homme à coté de moi. Je le mate sans vergogne pensant que les autres s'amuse. Il a l'air à fond dans le jeu. Je suis sur qu'il se rappel des noms de tout le monde, même ceux qui ne sont même plus là. Moi j'arrive pas. Ils sont tous très sympa, les potes à Black ( sauf miss ballons de foot.) Sauf que c'est ses potes... J'ai pas le même délires avec eux et je me sens pas trop à ma place, même si j'avoue m'être bien amusé en début de soirée. Peut erre que c'est juste l'alcool qui ne me réussi pas, au final ? Je vois Unster exploser de rire et soudainement je sens une main se poser violemment sur ma cuisse droite. Je tourne la tête et foudroie miss ballon de foot du regard. Car c'est elle qui a profiter du fait de rire aux éclats pour se pencher exagérément et se rattraper sur ma cuisse. Et elle n'enlève pas la main cette conne... Alors que j'allais lui faire remarquer violemment que je suis pas une peluche, une petite voix m'appelle.