Mort un jour, Mort toujours.

1.

Le 12 septembre 1945.

La police était déjà là, devant l'entreprise du grand résistant Armand Jonquet.
L'inspecteur arriva sur les lieux.

-Bonjour. Inspecteur Pierre Barreau.
Qu'avons nous là monsieur ?
-Bonjour. Un homme de 37 ans un grand résistant il s'appellait...
-Armand Jonquet. Oui je sais il était très connu.
-...Oui. On lui a planté une hache dans le ventre.

Ils arrivèrent devant le corps.

-Qui a trouvé le corps monsieur ?
-C'est le patron de l'entreprise. Lucien Teisseire. Il vous attends là bas.
-Bien.

Pierre Barreau s'avança vers lui.

-Bonjour monsieur, Inspecteur Pierre Barreau.
-Bonjour, Lucien Teisseire.
-Donc c'est vous qui avait trouvé le corps c'est bien ça ?
-Oui.
-Est ce que vous saurez ou trouvé ses proches pour leurs annoncé cette triste nouvelle ?
-J'ai dis à sa femme et ses enfants de rester près de la maison.

Il montra la maison qui était à 1km de l'entreprise.

-Vous avez bien fait monsieur.
À quelle heure vous êtes arrivés ?
-À 7h30 comme tout le matins.
Les ouvriers arrivent à 8h30.
-Bon.
Il tourna la tête.
Qu'est ce que c'est que ça ? Dit il en chuchotant.

Il y avait une femme devant le corps de Armand Jonquet .

Excusez moi monsieur.
Au revoir.

Il se rapprocha de cette femme.
Elle était très belle.

-Mais qu'est ce que vous faites sur ma scène de crime ? Et qui êtes vous d'abord ?
-Bonjour. Diane Danville. Je cherche à savoir pourquoi nous avons tué mon client.
-Mais qu'est ce que vous faites dans la vie ?
-Je suis psychologue. Mon client me confier presque tout. Je pourrais vous être d'une grande aide dans cette histoire inspecteur.

Il rigola

-Peut être nous verrons ça!
En attendant je dois vous laisser j'ai des gens à interroger!

Il partit laissant là Diane Danville.
Mais elle n'était pas femme facile, et courut vers la voiture de l'inspecteur avant lui.
Elle entra et s'assit dedans.
L'inspecteur arriva devant sa voiture, se pencha pour voir à l'intérieur pour voir la psychologue bien installer à l'intérieur.

-Il ne faut surtout pas vous gêner !
-Mais je vous accompagne moi !
-Si vous voulez. Il souffla

Après quelques petites minutes de route ils arrivèrent à la maison de Armand Jonquet.
Ils trouvèrent devant la maison sa femme Louise Jonquet et son fils Jacques.

-Bonjour madame. Inspecteur Pierre Barreau et Diane Danville. Je ne sais pas si vous l'avez appris mais votre mari est mort. Nous sommes vraiment tous desolé.
-Armand est mort. Elle pleura fort. Pourquoi lui ? Je...je..le savais déjà mais qu'on me le rappelle me fait tellement pleurer.
Elle se remit à pleurer.
-Ah...Désolé j'en suis vraiment confus.
Mais maintenant il faudrait que vous répondiez à quelques questions pour savoir qui a fait ça.
-B..bien.

Ils entrèrent dans la maison.

-Quelle charmante maison ! S'exclama Diane.
-Bon. Avez vous remarquer des choses qui clochait en ce moment avec votre mari ?
-Non...Mis à part qu'il voulait absolument fermé son entreprise.
-Vous a t'il dit pourquoi ?
-Il voulait se lancer dans la politique. Mais la chose qui le penait le plus c'était de mettre à la rue son patron Lucien Teisseire.
-Ah.
-Votre vie amoureuse n'était pas la même pas vrai ? Parlez moi en. Demanda la psy.

Barreau regarda Diane méchamment.

-Veuillez m'excusez quelques minutes madame.

Il prit Diane par le bras pour l'emmener un peu plus loin.

-Mais qu'est ce qui vous prends ? Ce ne sont pas des questions que l'on poses au gens. Je vous tolère ici que parce que vous le connaissiez mieux que personne. Alors ne parlez plus.

Ils revenirent auprès de Louise Jonquet.

-Bon, que disai-je ? Ah oui, vous ne voyez personne qui puisse en vouloir à votre mari?
-Non. Les gens le considérait comme un héros. Elle sourit.

Diane qui ne pouvait pas parler leva le doigt comme à l'école.
L'inspecteur le remarqua.

-Mais allez y maintenant !
-Merci. Votre mari était il proche de votre fils ?
-Heu...pas trop. Jacques restait près de Georges mais ne le dérangeait jamais.
-Et avez vous eu des nouvelles de votre mari pendant la guerre ?
-Non. Il ne m'avait jamais envoyé une seule lettre pendant 6 mois. Je pensais qu'il m'avait oublié même.
-Ce sera tout alors merci madame en tout cas d'avoir répondu simplement.
Au revoir.

Ils sortirent de la charmante maison.