Chapitre #5

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-Au secours ! Aidez-moi je vous en pris ! Cria-t-elle.

Et là, comme par magie un homme arriva, attrapa le matelot et le tua.Il se tourna vers elle et comment à s'approcher. Elle c'était relevé et avait prit l'épée de l'homme allongé sur les planches.

N'ayez pas peur je ne vais pas vous faire de mal. Lui dit-il posément.

Dans sa tête Véronica se disait : « Tu parle ! ». Il commença à avancé vers elle et la panique s'empara d'elle, alors elle s'avança,leva l'épée et lui entailla le bras. Elle se mit a courir et commença à monter l'échelle pour essayer de partir mais quand elle arrive au milieu de celle-ci, il lui attrapa le pied et la fit glissé. En tombant elle se cogna violemment et tout devins noir autour d'elle.

« Encore ce rêve, où je voyais ses deux personnes penchés au dessus de moi, deux inconnus. La femme me ressemblait beaucoup, énormément même. Quand a l'homme j'avais seulement le nez et l'épaisseur des cheveux. Ils me parlaient. Ils me disaient qu'ils m'aimaient, que j'étais la chose la plus précieuse qu'ils aient eut. Que était donc ces gens ? Se demandait-elle. D'un coup une autre scène apparut. Je me trouvais à l'arrière d'une carriole dans les bras de la femme et des cries se fit entendre. Elle avait demandé se qu'il ce passait au cocher mais au même instant des hommes étaient apparu de pars et d'autre de la carriole. Une personne m'avait arrachée aux bras de la femme et m'avait emmené. La femme leur criait de lui rendre sa fille mais ils partirent. »

Elle se réveilla. Sa tête lui faisait horriblement mal. Elle ne se rappelait plus trop se qu'il c'était passé. Elle se redressa et essaya d'observer se qu'il y avait autour d'elle. Elle se trouvait dans une chambre. Pas très grande mais meublée d'un lit, d'une armoire, d'un bureau, de chevet, de chaises et de fenêtres qui donnaient sur l'océan. Elle essaya de se mettre debout mais elle vacilla et s'assit sur le lit. Elle remarqua également qu'on l'avait changée et lavée. Elle ne tenait pas a savoir qui. Sur une chaise était posée une robe, longue. Se qui changeait beaucoup du bout de tissu qu'elle portait avant et qui cachait pratiquement rien. Elle se releva et cette fois elle n'eut qu'un léger vertige qui passa vite.Elle s'habilla et sortit.

Dès qu'elle fut sortit, le parfait de l'océan l'envahie. Elle inspira profondément en fermant les yeux. Elle les rouvrit et regarda autour d'elle. Le bateau où elle se trouvait, était beaucoup différent de La Pinta. On l'avait donc libérée, si on peut dire. Tout les esclaves devenu ses amis avaient aussi été libérés. Elle sourit et elle avança. Elle marchait en regardant les personnes autour d'elle. Les hommes ressemblaient à des soldats malgré le manque d'uniforme. Ils étaient tous très fort et la regardait passer. Elle alla à la prou du bateau et s'appuya au bord. Elle regardait l'horizon. De l'eau à perte de vu. Cette étendue bleue était magnifique, ce dit-elle.

- Magnifique, n'est-ce pas ? Lui demanda quelqu'un derrière elle.

Cette voix. Elle l'a reconnaissait, c'était celle de l'homme qu'elle avait blessée.

- Oui en effet. Dit-elle en se retournant.

La beauté de l'homme la troubla. Dans le noir elle n'avait pas pu distinguer son visage et maintenant qu'elle le voyait elle pouvait détacher son regard. Il était grand, la peau doré qui contrastait avec la blancheur de la sienne. Il avait les yeux bleu azur, les cheveux brun, musclé et larges au niveau des épaules. Il devait avoir 25 ans passé.

Elle eut un vertige, elle faillit tomber mais il lui pris le bras et l'aida à s'asseoir.

- Comment va votre tête ? Lui demanda-t-il.

- Pas très bien. Lui répondit-elle.

- Je vois ça, vous avez une belle bosse. Lui dit-il.

- Oui et c'est a cause de vous. Lui dit-elle.

- C'est vrai, je m'en excuse. Dit-il.

- Et vous ? Comment va votre bras ? Lui demanda-t-elle.

- Oh, se n'est rien. Lui dit-il.

- Rien ? Il vous faut des points de suture. Lui répondit-elle.

- Non ça ne sert a rien. Lui répondit-il.

- Comme vous voudrez. Mais je voudrais savoir, qui êtes vous ? Demanda-t-elle.

- Je suis le capitaine Braham et vous ? Répondit-il en lui tendant la main.

- Véronica, répondit-elle en lui serrant.

- Vous avez un jolie prénom. Lui dit-il.

- Merci, le remerciais-je en lui souriant.

Il lui sourit.

- Vous ne voulez pas que je regarde votre bras ? Lui demanda-t-elle.

- Je vous dis que tout va bien. Lui répondit-il.

- S'il vous plaît, laissez moi regarder c'est moi qui vous est fait cela. Insista-t-elle.

- Bon d'accord. Céda-t-il.

Elle entreprit de défaire le bandage. La plait était infecté.

- Votre plait est infecté. Lui dit-elle.

- En effet. Répondit-il en regardant son avant bras.

- Et vous qui disiez, ce n'était rien. Avez-vous une trousse de secours ? Lui demanda-t-elle.

- Oui, attendez. Lui dit-il.

Il demanda à un de ses hommes de lui apporter. Il revint peu de temps après.

- Merci, lui dit-elle.

Elle l'ouvrit puis en sortit du désinfectant. Elle prit un bout de tissu et en versa dessus. Elle l'appliqua ensuite sur la blessure. Elle vit son muscle se contracter sur la douleur mais il ne fit rien paraître. Après avoir bien désinfecté, elle stérilisa une aiguille et elle recoud. Il faisait une grimace a chaque fois qu'elle plantait l'aiguille dans ça peau. Quelques minutes plus tard elle finit ,satisfaite de son travail.

- Voilà, j'ai fais de mon mieux, dit-elle.

- Votre mieux est parfait, lui répondit-il en souriant.

- Merci, lui dit-elle en lui rendant son sourire.

- Bon je vais aller voir mes amis. Je vous laisse retourner à vos occupations. Lui dit-elle.

- Elle partit voir son amie Katherina.

Pendant qu'elle le recousait, il n'avait pas arrêté de la regarder. Il avait été surprit de voir a qu'elle point elle ressemblait à la duchesse de Flores. Comment lui dire ? Se demanda-t-il. Comment lui expliquer ? Ses questions tournaient dans sa tête. Il allait lui dire quand ils se connaîtront un peu mieux. Se dit-il.




L'Esclave et le Pirate sur l'azurOù les histoires vivent. Découvrez maintenant