J'attend depuis 10 minutes environ lorsque je sens mon telephone vibré, je le sors en grommelant que je peux pas écouté de la musique tranquille sans qu'on me dérange! Je le débloque et regarde le fameux message:
De Papa à Moi
Coucou ma chérie, ma moto est en panne, je n'arriverais pas avant un heure et quart minimum, désolé!Je soupir bruyamment, remet ma musique et commence a marcher en direction de chez moi. Alors que je marche ou plutôt que je me perd un peu plus, pour rentrer chez moi, je sens une main se resserrer autour de mon épaule, je sursaute au contact de la main qui m'a saisi l'épaule, un frisson de peur me parcourt le dos, mon coeur s'accélère, je tourne précipitamment ma tête pour regarder la main et m'assurer par la même occasion que je suis pas folle et reconnais la main ou plutôt le poignet de Nico, il porte un bracelet de force en cuir noir au poignet, il me sourit de toutes ses dents, content de m'avoir fait peur.
«-Ça va pas la tête? T'aurais pas pu me TAPPOTER l'épaule au lieu de me la CASSER!
-D'abord elle est pas casser, ensuite, non je n'aurais pas pu te tappoter gentiment l'épaule parce que sinon ça aurait pas était drôle!
-Espèce de sale égoïste tu peux pas penser à moi? T'aurais pu me demander avant de me la déboiter espèce de...
-Respire Lou, respire
-TG!»
Je sais même pas pourquoi je m'énerve comme ça, enfin si, je sais, j'ai eu peur de faire une crise de panique devant lui, mon seul ami, PN est restée ensemble pendant toute la journée discutant de nos goût, de nos passion et d'autre chose, même si il fait des truc un peu bizarre, genre sniffer l'air comme un petit chien, je l'aime beaucoup, même trop... Bref! Je mets en pause ma musique et enlève mon casque.
«- Tu m'écoutes?
-Euh oui? Tu disais quoi?
-Tu m'écoute pas!
-Si je t'écoute! ou pas ......
-Bref je te demandais si je te ramène chez toi ou peut-être tu préfère te perdre encore un peu plus?
-Comment tu sais que j'étais perdu?
-Ça fait 5 minute qu'on te regarde tourner en rond! Au faite je te présente Éléonore, la petit amie d'un ami à moi, elle a 18 ans aujourd'hui!
-Bon ben joyeux anniversaire alors.
-Merci! me répondit-elle avec un regard chaleureux.
-Bref! Tu montes Lou?
-Si tu veux, mais c'est à l'extérieur de la ville.
-T'inquiète, Claire vient de recevoir sa voiture, elle n'a qu'une envie, rouler avec!»
Je monte à l'arrière, claque la portière et boucle ma ceinture.
«-Tu parles pas beaucoup!
-Je sais, j'aime pas parlé pour ne rien dire.
-J'avais remarqué, tu parle vraiment pas beaucoup...
-Tu vas rester longtemps sur ce disque? Ou tu comptes changer?
-Hum... Je compte changer.
-Mouaie...»
Je prend un aire spectique et lui donne une petite calbote sur la nuque. Il me regarde avec un aire de mignon petit cocker battue et moi je le regarde avec les yeux d'un tueur psychopathe en série qui veut le tuer. Cette petite bataille de regard se continue pendant quelque minute dans un silence complet, (en excluant le bruit du moteur bien sur) jusqu'a ce que Claire le brise et me demande ou il faut aller, je lui indique le chemin et reprend le duel de regard. Malgrès mon extrême concentration, j'entend tous de même Claire chanté a tu-tête R.I.P, la nouvelle chanson de The Neighbourhood. Tout d'un coup, Nico commence a rire, son rire et vachement contagieux car au bout d'une petite minute de stupéfaction, je le rejoins dans son fou rire, je ne sais même pas pourquoi on rigole. On fini par essayé tant bien que mal de reprendre notre respiration, secoué de spasme. malgrès tous nos effort, au premier regard qu'on se lance, notre fou rire reprend, il a un rire grave, le mien par rapport au siens et assez aiguë, enfaite il frise le ridicule. On arrive devant chez moi après un interminable fou rire, je lui au revoir je sors de la voiture et la regarde faire demi-tours et disparaitre au premier tournant. Je sors mes clés de mon sac a dos, déverrouille la porte et entre dans la maison, il y a encore quelque cartons dans l'entrée, j'enlève mes chaussures et monte dans ma chambre. Je me couche sur mon lit et allume mon lecteur de CD, l'album Smoke+Mirrors, de Imagine dragons commence avec shot, je me lève et attrape mon carnet de dessin. J'ouvre mon carnet a une page blanche et commence à dessiner une pleine lune qui se désintègre stylisé. Lorsque j'ai enfin fini de dessiner la pleine lune, je pose mon crayon et mon carnet de dessin et m'allonge sous la couette et attrape mon livre (Eragon, le cycle de l'héritage). Je lis un peu puis je regarde pour la dixième fois l'heure, je m'inquiète pour mon père. Je descend dans la cuisine pour prendre un morceau de pain que je mange les yeux fixés sur la pendule, pire qu'en cour. Lorsque j'entends enfin alla porte d'entrée se refermée, je descend les escaliers à toutes vitesse, et saute dans les bras de mon père qui recule un peu sous le choque avant de me rendre mon étreinte.
-Désolé d'être rentré si tard mais la moto est en panne et j'ai de trop gros doigts pour la réparer, tu viens m'aider?
-Papa, tu m'as fait trop peur, je me suis inquiété pour toi, ça fait quoi, deux heure que je t'attend en tournant en rond comme un fauve dans ça cage! Tu m'as fait très peur papa, et...
-Lou, lou, du calme d'accord, tous va bien, je vais bien, il ne m'est rien arrivé, la motot était juste en panne d'accord?
J'hoche la tête et souffle un bon coup, on descend dans le garage et j'arrange selon les instructions de mon père la bougie. Après avoir réparé la motot de mon père, je remonte dans la cuisine et réchauffe le plat que j'avais préparé, on mange en silence. Après, on regarde un film ensemble, à la fin du film, je monte me coucher pendant que mon père attend ma mère, le sommeil m'emporte enfin et je me laisse plongé dans les bras de morphée.
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Hey, enfin le chapitre 3, merci d'avoir lu, teen wolf arrive ne vous inquiétez pas! Et laisser moi poser la base de l'histoire!
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I don't know / Teen Wolf
Romance*** «Elle n'aurait pas du, j'aurai du la retenir, j'aurais du l'empêcher de faire ça, c'est de ma faute. » Voilà la phrase qui s'est répété en boucle dans mon esprit pendant 3 mois après l'accident de ma cousine. Assailli par le tristesse, je dépéri...