Un bruit se fît entendre. Comme dans un film, tsé le bruit d'un fusil qui tire une balle... Ce même bruit effrayant. Fabien, Harry et moi étions dans une classe, les lumières éteintes et la porte barré. Un autre p o w se fit entendre. Un fille cria (en tout cas si ce n'était pas une fille, le gars venait de se faire enlever les testicules...).
Harry: Tu n'as pas trop peur Morginette ? Moi: Non ça va... Henriette.
Fabien rit. Nous étions supposés pleurer et avoir peur, mais non. Nous on riait et on se racontait les pires choses qui pourraient nous arriver. Le tueur nous trouve, il nous attache les pieds et les mains ensembles et on se fait suspendre au plafond comme un cochon en Espagne... Il nous dit qu'il va nous découper en petit morceaux et qu'il va nous manger après avec de la sauce BBQ... Alors on essaye de s'enfuir, mais il nous rattrape, nous met dans une casserole et nous cuit par la suite. On riait comme des enfants de 5 ans. Une fille apparue devant la fenêtre de la porte, elle avait l'air effrayée. Je me dirige vers la porte. Je la laisse entrer et elle court se cacher. On continue de se raconter des histoires bêtes et la fille nous regardait en faisant des faces. La police arriva. Nous ont riait comme des fous et la fille pleurait. La police nous interrogea. Ils se demandaient pourquoi on riait. Ils pensaient qu'on était dans le coup. Ils pensaient qu'on était des criminels parce qu'on riait ! C'est trop marrant ! Il n'y avait pas école à cause de l'attentat. Harry, Fabien et moi allons au parc, notre parc habituel. Nous parlons. Harry nous dit qu'il a peut-être rencontré quelqu'un. Je saute de joie.
Moi: Henriette est en amour ! Henriette est amoureux ! C'est qui ? Allez dit moi ?
Harry: Tu la connais pas...
Moi: Oui, c'est ça...
Je pars. Je suis ultra fâchée. Il ne me dit rien depuis un moment. Il est tellement distant ces temps-ci. Fabien me suit.
Moi: Qu'est-ce que tu me veux ? Je t'ai pas demander de me suivre !
Fabien: Je suis désolé... C'est juste que...
Il s'approche de moi. Il vient pour prendre mon visage...