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Il était une fois, dans des pays lointains situé aux pieds des montagnes de la grande Kabylie, qui fut autrefois nommé la Numidie, où les rois et reines était de sang berbère, une famille modeste vivant de la sueur de leurs fronts, et de la récolte de leurs terres.

on peut le croire sans difficultés, du moment où en ses temps là, tout les villageois kabyles vivaient de la même façon, et que malgré la dure vie qu'ils mènent se réservent entre eux une certaine solidarité dans les différentes épreuves auxquels ces derniers sont confrontés. Il est vrai que les familles kabyles se lient toutes les unes aux autres par les liens sacré du sang, car ces derniers se marient presque toujours entre eux afin de gardé sous protection la dignité, l'héritage morale et matériel de la famille.

Mais au sein de la famille Ait Saada, les coutumes ne suivent pas leurs chemins. Larbi le fils aîné de Lalla Fatma, une femme dans la quarantaine à la beauté sauvage de la région, a décidé de se lié par les liens sacré du mariage avec la fille de Mokrane d'Ait Menzour, une jeune fille âgée de 16 ans à la peau brune et aux cheveux noir, d'ont il est tomber amoureux en passant par Talla d'Amizab du village voisin lors d'une de ses visites amicales pour un cousin éloigné qui vis chez ses oncles maternel.

Lalla Fatma étant une excellente femme ménagère, qui s'est toujours bien occupé de ses enfants depuis leurs plus jeune age, et que la tache de les mariés revient à elle comme il est coutume de cela dans presque tout les villages de la Kabylie, veut marié son fils à la fille de son frère, une jeune fille âgée de 15 ans à la peau blanche comme la neige aux cheveux d'or de blé et d'ont la taille fine de son corps laisse rêver tout ceux qui la croisent en chemin dans le petit village.  Attachant une importance capitale à son dessein Lalla Fatma ne se laisse pas facilement abattre par les argument de son fils sur le fait qu'il veuille choisir lui même sa future épouse, et croyant que son fils ne fait là que le caprice d'un garçon trop gâté par elle et par sa grand-mère étant enfant. Elle décida de ne pas accorder d'importance aux paroles de ce derniers, et parle de sa décision à son mari Khider.

Khider étant un homme d'age mure, et à l'esprit vif, honnête et franc, ayant déjà lui même été pris de surprise par la manœuvre de sa mère concernant son mariage étant jeune. prend l'initiative d'en parler d'abord à son fils pour cette affaire le concernant, et c'est à la nuit tombant après avoir dîner tous ensembles en famille, qu'il prend son fils à l'écart pour lui en parle. Il lui explique que sa mère voulait le marier avec sa cousine Zahia, et que selon son raisonnement c'est à lui que revient le dernier mot.

Larbi, à la fois déçu par le comportement de sa mère, qui a agis selon sa propre résolution, et fasciné par son père qui, lui au contraire a pris le temps de bien lui expliquer les choses, et lui a même donné le droit de refusé ce mariage inconcevable, tellement il la considérait comme une sœur. Passe la nuit à réfléchir profondément au sujet de sa conversation avec son père d'une part, et celle de sa mère de l'autre,Il se remémora chaque mot de chacun d'eux. 

La volonté de  son cœur, n'était pas inconnue, il voulait plus que tout Kaissa. Mais il ne voulait pas contredire sa mère, et surtout ne savait pas ce que son père pensait vraiment de cet union. Il pense aussi à la manière de répondre à son père, il se devait à tout prix trouver les mots justes, être direct et parler sans ubiquité, il est né et a vécu dans ce village, dans cette famille et il sait à quel point les gens d'ici. Son père surtout qui est un homme droit, accorde une grande importance à la parole. Il murmure certains mots mais de peur d'être entendu se tait et se retourne dans son lit et dort d'un sommeil profond rêvant de cette fille aux cheveux noir corbeau, au visage angélique, aux yeux marron mais au regard plein de douceur, qui l'avait jusque là ensorceler.


  


La Petite OrphelineOù les histoires vivent. Découvrez maintenant