Texte n•1

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"La mer....
Elle est en colère. Sûrement à cause de tout ses gens qui s'introduise dans l'eau, y déposant de l'urine ou encore s'amuse à lui tourner le dos. Ce qui la rend encore plus en colère. Mais si elle a des sentiments, si elle vie, ressent-elle la tristesse ? La montre-t-elle avec ses vagues de haine ?
Même si vous ne lui tournez pas le dos, si elle vous veux, elle vous aura. Cette phrase fait peut-être froid dans le dos mais quand elle vous frappe d'une de ses vagues avec du sable. Sa fait mal, oui, très mal. Comme-ci de millier de petits piques vous été lancez. Comme-ci elle voulait vous affaiblir ou encore vous faire ressentir sa douleur, sa rage et autre sentiment quelconque. Sauf que personne ne s'en préoccupe. Ils sont là, à défier les vagues, toutes les unes plus grandes et plus fortes que les autres, a rigoler, a parier que l'un passera cette vague avant l'autre. Mais si, cette fois-ci tout changeait. Si, pendant qu'ils plongent, la force de la vague l'emporte, lui faisant vivre d'atroce souffrance. Si sa se passait comme ça, la personne concerner se rendra compte qu'il ne faut pas sous-estimé la mer, oh ça non. Elle peut vous prendre la vie comme on vous la donner sauf que se sera plus douloureux. Beaucoup plus douloureux. D'abord, la panique prendra place, en regardant à droite et à gauche sous l'eau, même si c'est flou. Ensuite, le manque d'oxygène vous poussera a nager, ou plutôt, essayer de nager vers la surface.
Mais notre force humaine n'est rien contre la force de la mer, dès qu'elle vous tiens, vous lui appartenez.
Puis après quelques minutes, après avoir essayer de remonter à la surface mainte et mainte fois, vous cédez. Vous ouvrez la bouche, laissant l'eau salée remplir vos poumons, cela en quelques secondes. Et vous regardez autour de vous, une dernière fois. Alors que la mort vous emporte. Laissant votre corps vide flotter sur l'eau. Mais vous ne souffriez plus quand vous avez ouvert la bouche, non. La panique, l'oxygène, rien ne vous venez a l'esprit. Vous étiez soulager, soulager de ne plus tenter de monter à la surface pour reprendre de l'air, soulager de pouvoir enfin, vous laissez aller."

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