Chapitre 3

78 9 2
                                    

Une nouvelle demande en ami de Léa mais ce n'est pas
tout, car un message l'accompagne, un simple mot

- Coucou !

Je vois que je ne suis pas le seul à ce rappeler de notre conversation de ce matin. Je ne réponds pas tout de suite, pour laisser le message en attente et faire monter l'envie chez Léa.
Ce n'est qu'après avoir pris ma douche que je me décide à répondre à ce simple " coucou ". Rapidement et sans le vouloir la discussion continue de plus en plus longtemps .. Les messages s'enchaînent comme ci l'ont se connaissaient depuis des années. J'en oublie pratiquement ma conquête de l'après midi, qui contrairement à moi continue sans cesse de m'envoyer des messages.
La nuit avance à grand pas, il est grand temps que je me repose un peu, la fatigué me rattrape après ma courte nuit de la veille et mon réveil matinal de ce matin.
Les jours passent et mes conversations avec Léa deviennent une habitude, alors que dans le même temps j'officialise ma nouvelle relation avec Margaux. Je devine qu'elle c'est très vite attachée à moi, espérant beaucoup de cette relation. Moi ? Je sais parfaitement que cet amusement n'est que passager et j'espère simplement conclure rapidement, car il faut bien l'admettre sa poitrine généreuse, ses lèvres pulpeuses et ses fesses galbées font naître en moi quelques pensées coquines. Peut-être que vous pensez que je suis insensible ? Cela est vrai, je n'ai jamais épprouvé de réels sentiments pour une fille, seulement une attirance physique, un désir d'assouvrir des pulsions presque animales. Malgré une réputation de bad boy qui augmente à chaque nouvelle rupture, je continue d'attirer des filles dans mes tentacules. Comment ? Je ne sais pas, je n'ai pas le physique d'un Dieu Grec, un mètre soixante quinze, mince même maigre d'après certains. Un visage fin, cheveux noirs et yeux verts. Des caractéristiques qui ne se démarquent que peu de la masse. Mais contrairement à la majorité des garçons de mon âge, je sais quoi dire aux filles, comment les flatter pour attirer leurs regards vers moi, le reste est facile.

Mes paupières se font lourdes, la semaine à été rude et je n'ai pas eu un sommeil agréable ces derniers temps. Je dois être en forme car le lendemain j'ai rendez vous avec Margaux. Elle m'a invitée chez elle pour l'après-midi. J'ai hâte de découvrir pour qu'elle raison elle veut que je vienne directement chez elle. Y'aura t'il sa famille ou serons nous, seulement tout les deux ? Est elle prête à faire le pas ? À ces questions, mon imagination s'emballe imaginant tout les scénarios possible. Je m'imagine quel sous vêtements elle va porter, culotte, tenga, string, rouge, noir, blanc, de quelle couleur ? Peut-être même rien. C'est comme ça que je m'enfonce dans le sommeil entouré de mes fantasmes les plus fous.

Dès la première sonnerie de mon réveil je suis debout. J'ai hâte, il est dix heures et mon rendez vous chez Margaux est à quatorze heures, j'ai donc quatre heures pour me préparer et c'est ainsi que le premier rituel de la journée commence lors de ma douche.
Je finis à peine de manger que je vois l'heure, il est déjà treize heures, je me dépêche et cours pour aller prendre le bus.
Sans le voir j'arrive devant sa porte, je frappe et à l'instant où je sonne, la porte s'ouvre sur Margaux, qui me saute presque au cou. Je n'ai à peine le temps de la détailler que l'on c'est déjà entrain de s'embrasser. Après de long et langoureux baisers, elle se détache de moi. Je peux enfin la regarder.
Habillé d'une jupe courte, moulante et qui lui arrive à mi cuisses, un petit haut blanc qui s'arrête juste au dessus du nombril. Elle est peu maquillé mais cela lui va très bien, je n'ai qu'une hâte, c'est que l'on soit tout les deux à l'intérieur.
D'un geste de la tête elle m'invite à rentrer. Je ne me fais pas prier, je lui emboîte le pas.
D'un geste de la main elle me montre La table de la cuisine, où elle a préparée un petit gâteau en forme de coeur. Jolie attention même si je n'y fais que peu attention, je ne suis pas venu pour manger du gâteau. En cachant mon désintéressement face à cette surprise, en avalant la petite création en deux rapide bouchées.
J'attends patiemment que Margaux finnisse pour l'amener dans sa chambre.
C'est mains dans la mains que elle m'accompagne dans sa chambre, son intimité. Ça chambre est rangée, rien ne dépasse.
Je me retourne, je la prend dans mes bras et l'embrasse fougueusement, nos langues se mélangent, s'emmêlent.
Dans un élan de tendresse, nos corps s'allongent sur le lit. Tout en continuant, Margaux vient se mettre en califourchon sur moi, éloigne ses lèvres des miennes, et avec un sourire coquin glisse sa main sur mon corps, du haut vers le bas ...

À suivre.

Amour de jeunesseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant