Chapitre 14

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-Luke...ta mère aimerais que tu rentre chez toi. Dit Michael en descendant les rochers.

-Pourquoi? Pourquoi t'es toujours là? Pourquoi tu veux pas faire comme tout les psys et juste faire des rencontres? Pourquoi tout est aussi compliquer avec toi? Dit je en continuant de fixer l'eau du lac.

-Je veux aider les gens Luke, pas simplement les faire chier. Dit il en venant s'assoir près de moi.

-peut être que tu t'y prend mal. Dit je sans même le regarder. Peut être que finalement tu me fait chier...

Il se tait et je relève les yeux pour voir la fête foraine de l'autre côté du lac.

-t'y est déjà aller? Me demande Michael en voyant ce que je regarde.

-les fêtes foraine son des endroits où les gens vont pour se créer des rêves, moi, je détruit des rêves. Dit je en continuant de fixer les lumières multicolore qui colore le ciel.

-pourquoi dit tu ça? Me demande t'il en se tournant vers moi.

-si je ne serrais pas née, ma mère serrait encore avec mon père, Calum serrais encore gentil, tu n'aurais pas à te soucier de moi. Dit je en essuyant les larmes sur mes joues.

-si tu ne serrais pas née, tu aurais privée le monde d'un petit garçon formidable, Luke. Me dit il en passant un bras sur mes épaules, que je m'empresse de repousser.

-pourquoi tout le monde pense que je suis juste un petit garçon? J'ai plus 6 ans. J'ai déjà fumée et je me suis déjà tellement bourré la gueule que je savais même plus qui j'étais. Je suis plus un enfant merde! J'ai pas besoin d'être protéger! Dit je en me tournant finalement vers lui.

Il me regarde fixement avant de regarder le lac.

-quand j'avais ton âge, je me suis dit la même chose. Je me suis tellement rebeller d'un coup, que ma mère n'a rien compris et qu'elle pensait que je fessait une dépression ou un truc dans le genre. Tu connais les mères. Tout ça c'est réglée quand j'ai rencontrer ma femme. Elle m'a disons...arrêter dans mon élan. Elle m'a redescendu sur terre délicatement en me disant "Clifford je te jure que si tu vole encore une fois dans le magasin, j'appelle les flics et ton père!". Je crois que c'est cette journée que j'ai commencer à l'aimer...bref de quoi je parlais? Dit il en me regardant.

-Rien d'intéressant. Dit je en essuyant les larmes qui on remplacer les anciennes.

-bon...ce que je voulais te dire, c'est que ça sert à rien de penser qu'on est assez grand pour vivre seuls, on a toujours besoin d'une mère dans notre vie. Que ce soit notre biologique ou la vieille voisine qui aime bien faire des biscuits, on a toujours besoin d'un mère. Dit il en me fixant sans bouger.

-on a toujours besoin d'un père aussi. La seule chose que le mien m'ai appris, c'est que la chose la plus difficile au monde c'est de pardonner.

Mon psyOù les histoires vivent. Découvrez maintenant