La Soirée Déguisée. tome 2.

chapitre 17: tout a basculé.

« On dit que, quand on a trouvé notre âme sœur, nos âmes sont liées, nos âmes inséparable, pour la vie. On dit aussi que, si une de ces âmes est toujours sur terre, toujours en vie, celle pour qui les jours sont à présent comptés survivra car, maintenant, ces deux âmes ne peuvent être séparées. Plus rien ne peut éloigner ces deux âmes, pas même la mort. C'est peut être ce qu'il va m'arrivée. Peut être que son âme va me sortir de la. Peut être qu'il va me sauver. Ou tout simplement, peut être vais- je mourir... »

*flash back*

J'étais tranquillement chez moi avec celui que j'aime plus que tout, ma tête reposait sur son épaule et sa main caressait doucement mon ventre prêt a exploser quand une douleur atroce m'arracha un horrible cri.

Moi: MON DIEU... KEV SA COMMENCE.

Kev: qu'est ce qui...oh putain ce n'est pas vrai... bon je vais heu... je fais quoi ?

Moi: prend mon sac et les clefs et dépêche toi ou je te jure que je t'arrache tes cheveux un par un.

Je le voyais rire a ma petite remarque qui pour ma pars, était tres sérieuse. Une fois a l'hôpital, je fus prise en charge, et c'est la que le calvaire commença.

Apres 3 heures d'attente, les médecins m'emmenèrent dans une salle d'accouchement. Je ne sais pas combien de temps j'y suis resté, mais tout ce que je sais c'est que quand tout ça fus terminer, je ne voulais qu'une chose, mon fils.

L'infirmière me l'a donné, je lui ai souris puis, tout a basculer.

Kevin me parlait mais je ne comprenais rien, je n'entendais rien. Une infirmière repris mon fils et le donna a Kevin, elle lui fit signe de sortir avec une autre infirmière (surement pour faire les soins de Noah). Le médecin se précipita vers moi, je voyais tout le monde s'agiter, s'affoler autour de moi. Avant de fermé les yeux, je tourna la tête vers la droite et vu Kevin essayer de me rejoindre mais il fut retenu par un infirmier. J'ai eu à peine de force pour lui chuchoter un je t'aime. Mes yeux se fermèrent tout doucement sur le visage de Kevin dévasté par les larmes. Je ne lutais pas, je n'en avais pas la force. A présent je ne voyais plus rien, je n'entendais plus rien. Je ne m'appartenais plus.

*fin du flash back*

Voila, je crois que c'est claire maintenant. Sa fait un peu plus d'une semaine que je suis dans un coma « assez profond » comme le dise si bien les médecins. Le pire dans cette situation, c'est mon fils. Je ne l'ai plus revu depuis mon accouchement. Je sais que ma mère et mon frère viennent tout les jours, tous comme mes amis et la famille de Kevin d'ailleurs. Je les entendais parler autour de moi (car je ne vois rien d'autre que du noir), je sais qu'ils sont mal et, c'est de ma faute. Kevin, lui, je ne l'ai pas entendu une seule fois. Je ne sais pas se qu'il fait, ou il est et avec qui il est mais dieu sait que j'ai besoin de lui.

PDV KEV

Je ne sais plus quoi faire...

Je suis 24h/24 a la maternité, près de mon fils. Je ne le quitte pas.

Maman: Kev, tu devrais aller la voir. Elle a besoin de toi, de sentir que tu es présent pour elle.

Moi: j'y arrive pas -larmes aux yeux- je passe des heures devant sa porte sans jamais osé entrer dans sa chambre.

Maman: allez Kev, rentre chez toi, prends une douche et puis va la voir. Je vais restée avec Noah.

Je lui fis un faible sourire puis, déposa un baiser sur le front de mon petit prince.

Avant de quitter l'hôpital, je suis monté à l'étage ou la chambre de Shana se trouve. Je resta 5 minutes devant sa porte. Je regarda ma main gauche et fixa longuement l'anneau qui symbolisait que je lui appartenais, je fis tourner la blague cette bague a l'aide de mon pouce. Une larme coula le long de ma joue, je ne l'essuya pas tout de suite et la laissa rouler lentement le long de mon visage. Je ferma les yeux juste quelques secondes en espérant que, une fois que je les ouvrirais de nouveau, tout ne sois qu'un terrible cauchemar. Je quittais enfin cette hôpital avec un regret, celui de ne pas être allez la voir plus tôt.

PDV SHANA

Le temps passe. Et il passe très lentement.

Ca va bientôt faire 2 semaine que je suis ici, allongée, sur ce lit sans pouvoir rien faire, rien dire. Je me sens de plus en plus faible. De plus en plus... loin de tout.

???: Qu'est ce que tu fais ici ma chérie ?

Le noire qui m'entourais laissa place a la silhouette d'une personne qui manquais tant a ma vie.

Moi: papa... ?

La silhouette devint alors de plus en plus identifiable, les quelques souvenir que j'avais gardée de lui ravivèrent des sentiments que j'avais oubliée.

Papa: ma chérie, pourquoi es-tu encore ici ?

Moi: papa, tu me manque tant -larmes aux yeux-

Papa: toi aussi ma puce, mais, il faut que tu te battes, tu a une famille maintenant.

Moi: j'ai plus de force. J'ai plus la force de me battre.

Papa: bien sur que...

Moi: je veux rester avec toi...

Petit à petit, je sentis mon corps m'abandonner, il ne m'appartenait plus.

J'entendais des médecins arriver en courant dans la chambre. La machine qui me tenait en vie marquais a présent un long « bip » sans plus aucune coupure.

C'étais le moment, j'étais prêtes, j'allais partir...

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VOILA MES PINGOUINS J'ESPÈRE QUE CE CHAPITRE VOUS AURA PLUS. N'ESITER PAS A LAISSER UN COMMENTAIRE. BISOUUUUUUUUUUUS