Last chance.

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J'étais assise en regardant le sol depuis des heures. Je pensais encore et encore tous sa a l'air si irréel, j'aimerais tellement que se ne soit qu'un rêve. Un très mauvais rêve.

Je sais tres bien que même si cela n'était qu'un rêve la fin dépendrait de moi.

Le temps passait vite et je savais que ce n'était qu'une affaire de minute pourqu'il arrive.

Je ne veux pas qu'il me touche, je ne veux pas qu'il soit en moi. L'image de ces salle patte sur moi, me donne envie de vomir.

Dany que fait t'il ? Je n'arrive pas a a ne pas pensé à lui et à sa dernière expression. La dernière image qui me vient de lui, n'était pas vraiment celle que j'aime. La peur.

Avez vous déjà eu peur?

Non avoir peur par ce que papa ou maman va vous grondé, non avoir peur par ce qu'on doit des explications. Non avoir peur par ce qu'on ne veut pas faire des bêtises .

Mais peur de perdre quelqu'un de chère.

Peur de perdre la personne qui fait battre votre cœur, peur que son Coeur s'arrache de douleur car cette personne aura mal. Peur de ne pas revoir le seul visage qui réussit à vous a paisé ?

La douleur rogne a petit feux, je la sens me consumer.

Si je dois mourire ici, Dany pourra t'il supporté ?.

Son enfant et sa femme, à quelque jours du mariage, un cliché parfait de douleur et de la malchance . Je ne peux pas lui faire sa.

Je n'ai pas peur pour moi. Si je n'en sors pas j'irais dans un autre monde ou pour moi celui-ci n'existera plus mais pourais-je supporté lors de mon dernier souffle la douleur de ne plus revoir Dany ?

Je dois me battre coute que coute.

Je n'ai pas cessé de posé ma main sur mon ventre pour essayé de ressentir à nouveau sa douce main fessant de petit cercle sur celui-ci .

Je me rend compte que je l'aime d'un amour inconditionnel.

Dans le doute de la mort je pense encore a lui. Il est comme cette lumière qui me donne cette force.

J'entends sa voix me dire

"Je suis la" ou encore "tout ira bien"

Non Dany rien n'ira si je ne m'en sort pas. Je ne veux pas te fair mal, pourquoi tous es si compliqué?

Le situation ne fera que ce détérioré. Ils ne lâcheront pas l'affaire.

Je doit partir, on doit partir.

Si tous sa ce termine, on ira loin d'ici.

Je ne me laisserais pas faire.

Je sortirais d'ici vivante pour lui et mon enfant.

Alors que j'arrivais a ma conclusion, je sentis l'infiltration d'une clée dans la porte. Signifiant que quelqu'un est la.

Kameron, je sais.

Faut que je fase vite. J'ouvris le couteau suisse et le place dans mon bas du dos de sorte à ce qu'il soit caché et que je puisse le faire sortir.

"Alors ma belle prête pour ce soir "

"Je ne coucherais pas avec toi"

"Oh mais qui ta demandé ton avis?"

"Tu ne fait que prendre ce qui appartient à autrui"

"Tais toi!" Hurle t'il " Tu m'appartient qu'à moi. "

"..."

Cet alors qu'il commença a ce déshabillé, je fus horifier

Je me suis toujours dit que ce sera Dany seul qui aurais le droit de faire sa. Je me raidis a cette pensée .

Dany ou es tu ?

Kameron était le cliché parfait d'un film américain. Le grand et beau garcon que toute les filles désiraient.

Le genre de personne qui pourrai te faire frisonné rien quand posant un regard sur toi.

Ce sa qui ma fait tombé amoureuse de lui.

Bon Dieu comment ai-je pus tombé amoureuse de ce spycopate ?

Désiré la femme d'un autre, c'est vraiment ignoble.

Sa carrure était imposante de son metre quatre-vingt, ces cheveux ébouriffé lui donnant un air de bad boy sexy, ces yeux de braise capable de faire fondre n'importe quel glacier.

Mon Dieu suis-je entrain de le mater ?

A vrai dire il ressemble beaucoup à Dany.

Physiquement bien-sûr sinon comme je vous l'ai dit Kameron est une personne instable qui mérite son entré en clinique spycatrique

Il aurait pu avoir une belle vie.

Il est si intelligent mais ce n'es qu'un fou, instable, débile.

Au lieu de metre tous ces talent a travail, il l'utilise pour me Kidnappé, voyons ce n'es pas sérieux.

Un retour à la vérité s'impose lorsque je sentis son souffle chaux sur moi, sur mon cou entrain de l'embrassé.

Je pris de panique et asseya de me dégagé

"Ne bouge pas, sinon je serais si brutal que tu ne pourra plus marché"

Cette phrase fus comme un anesthésie pour moi, je ne bougeais plus et le laissait faire.

Il retira mon haut et ce mit a m'embrassé, au début je n'y prenais pas part mais je savais que c'était le moment.

Tros consentré j'en profitais pour enfoncer la lame du couteau dans son ventre. Celui-ci émit un bruit aigus avant que je le vais basculé de côté.

"Salope " dit-il en se pliant sur lui meme.

Je pris mon haut et me mis à dévalé les escaliers, deux part deux. Trois part trois.

Arriver dehors, la lumière du soleil m'eblouis, je mis du temps avant de m'habituer et me mis à courire.

Je reconnus le coin, ce vieux entrepôt. J'y venais souvent car il était non loin de la maison de mes parents.

J'y venais pour réfléchir.

Pour être seul.

Tous en continuant ma course vers le seul endroit ou je me sentirais en sécurité.

Je cognais quelque chose de dure, quelque chose qui m'empêchait de continuer ma route.

Je n'eu pas peur par ce que je savais que c'était la ma place.

Son odeur m'avais temps manquer que je me mis à m'agripper a lui comme si ma vie en dépendait.

"Ces fini maintenant "

A cette phrase, je me laissais aller et guidé jusqu'à la voiture dans l'espoir de ne plus jamais revivre sa.

Forever I Love You (RÉÉCRITURE )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant