Chapitre 9

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Hey !!

MAAAAAIIIIS... !!!!! o.O Je suis sous le choc là !! On est à 1K.1 vues et .... Awwwwwhhhhh je danse la macarena ... Merci encore infiniment d'être là et de suivre cette fiction !! Et merci pour vos votes et commentaires ... (essuie une larme). Nan franchement, j'en espérais pas tant...

Bon alors en fait je comptais poster aujourd'hui et c'est un peu galère là je suis dans une salle de mon lycée x) 

Voilà donc comme prévue bah la suite... En fait, j'ai un peu peur sur ce chapitre parce que je suis partie dans un espèce de gros délire un peu...chelou je l'avoue. Pour le coup un petit commentaire ne serait pas de refus :') Désolée mais ce chapitre n'est pas très très long :/ Le prochain le sera sans doute par contre x)

Bon bah bonne lecture malgré tout !

jétropeur !!

NG

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Trois jours. Trois jours avant son opération. Thomas n'en pouvait plus d'attendre. Autant son côté raisonnable avait peur, autant son côté suicidaire était pressé de faire cette nouvelle expérience. Thomas était donc envers et contre tout, particulièrement tiraillé. Quelque fois, alors que tout se passait pour le mieux, il était secoué de vagues de palpitations parfaitement inutiles et chiantes. La visite de Minho l'avait quand même rassuré un petit peu en lui montrant son regard externe (et paniqué) sur l'opération. Ses camarades de l'hôpital, avec toute leur bonne volonté, ne pouvaient pas le rendre confiant après tous les détails de leurs propres interventions. A ce sujet, Teresa avait rabâcher sans arrêt à Thomas son opérations de la hanche très délicate «  Et je te jure, quand je me suis réveillée, il y avait tellement de sang dans mon lit qu'on se serait cru dans un livre d'Agatha Cristie ! » pour le plus grand bonheur du brun qui pâlissait à vue d'œil. Il bailla tout à fait indiscrètement, un peu beaucoup fatigué. La veille, la visite de Minho fut interrompue par Newt qui rentra dans la chambre en serrant timidement la main de l'asiatique. Ce dernier se décida à partir « pour vous laisser entre vous » après avoir adresser à Thomas un clin d'œil des plus discret, lui valant par la même occasion un magnifique et distingué mouvement du majeur venant du brun. Newt avait pouffé face à cette démonstration d'amitié profonde basée sur le respect ainsi que l'amour et avait proposé à Thomas une énième escapade nocturne le soir même. Chaque soir qu'ils passaient tous deux à l'extérieur à profiter du calme de la nuit et de la compagnie de l'autre était attendu comme le messie par Thomas. Mais Newt ne pouvait pas sortir toutes les nuits, comparé au brun en pleine forme, par rapport à lui bien sûr. Alors ils sortaient de temps en temps, faisant de ses moments des instants privilégiés et rares qu'ils savouraient. La veille avait été éprouvante car ils avaient bien faillit se faire chopper comme la première fois et avaient passer au moins dix minutes collés l'un à l'autre en attendant que le couloir soit de nouveau désert. Et autant dire que cela avait été particulièrement difficile pour Thomas, collé ainsi au blond, le visage cramoisi et sa perche se cognant sans arrêt contre le mur. Enfin bref, ils avaient passé une nuit éprouvante et ce matin, Thomas se leva totalement courbatu. Comme à son habitude, il jeta un coup d'œil au lit voisin où Newt dessinait distraitement. Il le trouvait tellement magnifique, alors qu'il était juste en train de gribouiller, les yeux encore endormis et rouges et la canule de travers.

Après avoir demandé à son voisin si ça le dérangeait qu'il prenne une douche, Thomas se dirigea dans la salle de bain partagée entre eux. Il poussa d'un coup la boule de caleçons sales et autres choses non-identifié(comme par exemple une quantité monstrueuse de cds, un poste de radio, des vêtements et autres trucs dont on a pas vraiment vraiment envie de parler) loin de la douche et sortit ses propres affaires. Désormais, Thomas et Newt ne se faisaient plus de politesses là dessus. Le brun avait déjà vus le blondinet en caleçon plusieurs fois mais ça ne le dérangeait pas plus que ça, bien qu'il rougisse furieusement à chaque fois. Leur petite routine s'était installée tant bien que mal et il arrivait de temps à autre que Thomas ou Newt jure sur l'autre qui refusait de ranger ses affaires. L'eau chaude parvint un moment à détendre le brun complètement crispé mais cela ne dura pas longtemps. Quelques minutes plus tard, il sortit de la douche après s'être démêlé de sa perfusion. Il était tellement... tellement fatigué et ... mal ? Thomas se rendit compte trop tard de ce qui était en train de se produire. Une douleur lancinante et particulièrement violente se fit sentir dans son estomac. Sa respiration s'intensifia alors qu'il se cramponnait fermement à la vasque, haletant. Il eu juste le temps de crié « Newt ! » d'une voix douloureuse et faible avant de tomber à terre et de sombrer dans dans l'inconscience.

Le lit d'à côté (Newtmas)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant