La Femme de Satan. [Tome 2]

| Premier chapitre |

Quinze années se sont écoulées depuis mon accouchement.

- Angélique ! ( voir média) Nous allons chasser, viens !

- Attends maman ! Je n'ai pas fini de me préparer.

- Angélique...?

- Je suis là.

Nous passons par la porte nous conduisant vers le monde des Humains et faisons notre petit rituel.

- Regarde Angélique... Cette fille si fine et délicate... Une putain d'fille d'riche...

- Oh non maman ! Pas celle-ci !

- Apporte-la moi Angélique.

- Non.

- Ce n'était pas une question.

D'un seul coup, Angélique bondit sur une branche d'arbre.

Elle se déplaça d'arbre en arbre avant d'être sur celui qui était positionné derrière sa victime.
Elle bondit de l'arbre, avant de plaquer sa victime au sol, l'empêchant de la voir.

- Je suis désolée... chuchota Angélique.

- ANGÉLIQUE. NE T'EXCUSE PAS ET VIENS.

Après avoir assommé sa victime nous rentrons au château.

- Petit déjeuner dans vingt minutes.

Nous nous dirigeons dans une salle spéciale, celle où Gothiera est morte.

- Pose-la sur cette chaise, et regarde.

- Maman... Pourquoi tuons-nous les Humains ? Ils sont si intéressants... demanda Angélique en posant notre victime sur une chaise, l'attachant.

- Car l'Humain est faible. répondis-je.

Je m'approchai doucement de ma victime, la voyant se réveiller.

- Angélique, observe le travail.

Elle hocha silencieusement la tête.

- Couteau ou dents ? demandai-je, fixant ma victime s'excitant sur sa chaise.

********

- Maman... Tu y es allée fort...! Elle avait l'air gentille...

- On rentre.

********

Une fois arrivées au château et après avoir mangé, Angélique partit s'enfermer dans sa chambre tandis que je partis dans la mienne.

En ouvrant la porte je découvris.. Mon mari.

"Oh, Alessia ?"

- Quoi ? demandais-je.

La nuit va être longue.

PDV ANGÉLIQUE.

Je vis ma porte s'ouvrir, laissant apparaître un esclave à ma mère.

Quittant mon très cher lit, je m'approchai de lui, avant de me positionner sur la pointe de mes pieds, scellant nos lèvres.

Seulement, je le repoussai doucement en sentant ses mains se faufiler doucement sous mon haut.

- Damon ! m'exclamais-je.

- Désolé... s'excusa-t-il, tandis que je l'enlace.

PDV ALESSIA.

- Drakness ?

"Mhh...?

- Tu m'aimes ?

« ..."

- Drakness ?

"Oui, je t'aime."

- Pardon ?

Je me levai précipitamment en prenant avec moi la couette afin que cette dernière cache mon corps nu.

- Quinze putains d'années que nous nous supportons, et tu doutes ?

"Je t'aime, la réponse ne te convient-elle pas ?"

Avant que j'ai finis ma phrase, je me retrouvai sur ma commode, Drakness devant moi.

Il passa sa main en dessous de la couette qui me cachait avant de venir en moi.

Par surprise et plaisir, ma tête bascula en arrière.

- Arrête...A...Tu ne peux pas tout résoudre comme…Ç...Ça.

"Pour le moment…ça marche."

Il me fit descendre de la commode avant de me retourner.

"N'essaye pas de fuir... Tu prends autant plaisir que moi à ce jeu."

J'essayai de m'enfuir, mais le plaisir m'en empêchait.

Après une quinzaine de minutes de tentatives de fuite, je réussi à me sortir de son emprise.

Je récupérai entre temps la couverture pour me cacher.

"Pourquoi tu pars...?"

- PARCE-QUE ! TU M'AIMES OU PAS ?

"Bien sûr..."

Soudainement, on toqua à la porte.

Je partis ouvrir avant d'apercevoir Terzia.

- Je peux parler à Drakness ?

- Volontiers. répondis-je les laissant seuls, prenant au passage une robe.

Je fermai la porte et allai discuter avec Carther.

- Elle est où Terzia ? me demanda Carther

- Elle a voulue parler à Drakness. répondit-je calmement

J'explosai de rire lorsqu'il s'étouffa avec l'eau qu'il avait bu à l'entente de ma réponse.

Cette abrutit voulut m'en coller une mais à la place il tomba sur moi.

- Dégageeeeee. ordonnai-je

- Tu m'énerves, Alessia.

- J't'aime aussi. lui répondis-je avant d'exploser de rire.

Tout d'un coup, nos regards se croisèrent.

Mon coeur a fait un bond...

- Viens, on va voir ce qu'ils font. proposa Carther

- Reste là, j'y vais mais bouge.

Après qu'il se soit décalé, je partis en direction de ma chambre.

J'ouvris la porte avant de découvrir...