une noire en france

Depart : bey bey

Je n'ai jamais pense, qu'un jour que ma vie allais change. Que j'allais devenir quelqu'un d'autre, que cette jeune fille joyeuse et sans doutes de 8 ans. Je pensais que j'allais reste éternellement la même. Et que j'allais vivre avec les même personne toute ma vie.
Mais l'année de mes 9 ans ma vie a change . j'allais devenir quelqu'un sans pays, j'allais me perdre dans ce monde qui est l'adolescence. J'allais change du tout au tout. Je ne pensais pas qu'un jour je ne me reconnaîtrai plus.

Un jour, on m'a dit que j'allais rejoindre ma mère. Ma mère était parti en France depuis deux ans déjà. Et je ne comprenais pas pourquoi. J'étais perdu, même si la plus part des gens que je connaissais rêvaient de ce pays, moi je ne le connaissait pas. On me faisait comprendre quelle chance j'ai de partir dans ce pays, le pays des hommes blancs que j'avais déjà vu quelque fois.
Mais moi je ne voulais pas partir. Moi j'aimais l'odeur de la pluie , même s' il pleut aussi dans ce pays on me disait qu'il tombait de la pluie de sable blanc et qu'il faisait tellement froid qu'on ne peut pas se jouer dehors. Moi j'aimais tout ce qui était dans mon pays , les gens, les couleurs, les sourires et ma familles. Je voulais vivre éternellement avec tout ces choses je voulais être heureuse toute ma vie, et ne jamais changer.
On devait faire les démarches pour pouvoir partir. Je le faisait avec mon père qui était reste ici enfin de veiller sur nous, mais je vivais avec mes grands parents, car il avait décidé que c'était mieux pour moi d'être avec les gens de min âge. Car dans le quartier où était notre maison familiale, il n'y avait presque pas d'enfants , le quartier était en construction , avec des villas et piscines qui se construisait tout autour.
C'était ma soeur et moi qui devons partir en France. Mais puis ce qu'on était mineurs, nous avons été accompagné par ma tante. Ma soeur , elle s'appelle Hillie , elle était a l'internat, depuis que ma mère est partie. Elle venait chaque vacances chez mes grands parents aussi.

Le jour du départ on était habille tout les trois pareille on risquait pas de nous manque. Avec des pantalons pas d'éléphants c'est la mode en ce moment la. Quand j'y repense, c'était vraiment laid. Avec des pulls blancs, car il faisait tellement froid en France que l'urine devenais de la glace. Et des ballerines noires.
On était accompagnés de presque toute la famille que je connais bien, tout le monde était sur son 31. On dirait c'était eux qui allait partir. Quand il fut temps de prendre l'avion , je me suis mis tout d'un coup a pleure, je ne voulais pas partir , je voulait reste, et la je me suis agripper a la robe de ma grande mère que j'appelais maman a cette époque la. Je ne voulais pas la lâcher.
Et finalement, on s'est dit au revoir, et j'ai entendu n de mes oncles dire adieux, c'est maintenant que je me suis rendu compte qu'il disait vrai, car j'allais revoir cette famille la que 5ans après .