DANGEROUS GAMES.

4 .

A présent, je vais écrire comme une histoire. C'est-à-dire que je vais écrire tous les passages possibles pour que ce soit compréhensible pour vous. Et puis j'aime tellement écrire que je veux vous faire partager ma passion. Sur ce, bonne lecture.

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Cela faisait quelques jours que l'Inconnu ne me parlait plus. Je ne comprenais pas, c'était bien son jeu non? A-t-il abandonné car j'étais beaucoup trop intelligente pour lui? Je rigolais évidemment en me parlant à moi-même. J'aime ce côté chez moi, le fait d'être surprenante et intelligente à la fois. Suis-je hautaine? Non, je ne pense pas. Mais par contre, lui, il l'était. Je repris mon sérieux après cette pensée. Oui, à cause de son jeu stupide j'en suis devenue accro. Mauvaise chose à vrai dire..

Après avoir déverrouiller mon téléphone pour regarder s'il y avait un quelconque message venant de lui, je soupira en vérifiant, mais toujours rien.. Aucun signes de vie, je me mordis la lèvre inférieure et tape le crayon contre la feuille blanche de mon cahier signe de nervosité. Je secoua la tête et me remis dans mes exercices et dans mes révisions.

Malheureusement, je n'arrive en aucun cas à me concentrer. Alors je décida de me lever pour aller ouvrir la fenêtre qui se plaçait à ma droite. En ouvrant celle-ci, un vent glacé se jeta sur mon visage crispé, ainsi que dans mes cheveux, ils planaient à la puissance de ce vent. Qu'est-ce que ça fait du bien de sentir l'air frais contre ta peau. Je ferma les yeux, le temps de m'adapter à cet air, je respira fortement et lâcha un soupir. L'air était mon point faible, oui ça peut paraître bizarre mais c'est ça. Il me fait ressentir toute sorte d'émotions, et c'est ce que je veux dans ma vie.

Je me dirigea vers mon bureau, brancha mes écouteurs et commença à lancer la musique pour me concentrer, je faisais toujours cela dans ces moments là, où je me sentais seule et abandonnée. L'ayant activer, je pouvais à présent mettre le son au maximum. Le rythme de la musique résonnait et tapait dans mes oreilles. Ce moment où tu te sens libérer, où tu aimerais juste vivre dans le rythme de la musique. Toujours répéter les moments les plus agréables, et les revivre sans cesse.

Puis mon téléphone se mis à vibrer instantanément contre la table. Je m'empressa de regarder qui s'affichait et un sourire se forma sur mon visage: C'était lui..

Inconnu_ Eliana?

Je tapa un message, puis hésita avant de lui envoyer.. Mais je le fis quelques secondes plus tard.

Eliana_ Oui?..

Inconnu_ Excuse moi...

Eliana_ C'est un soulagement de pouvoir enfin te parler, alors ne gâches pas ce moment avec tes excuses bidons.

Inconnu_ Rebelle, ce que j'aime cette force chez toi.

Je ne pouvais m'empêcher de sourire après ce message. Oui, il est provoquant, et ça le rend différent. Je secoua la tête en me remémorant ce message et me remis dans mes révisions.

Qu'est-ce que c'est dur, surtout en pensant à son dernier message. Devrais-je lui répondre? Peut-être bien que oui, j'avais une folle envie de lui parler, c'était comme devenu addictif. Cela faisait quelques semaines que nous "jouions" ensemble et j'aimais ce "jeu". Enfin, je pourrais oublier le concept mais en clair, je m'en fichais de ce jeu, ce qui m'intéressait,  c'était simplement passer du temps avec lui.

Eliana_ Où étais-tu?

Inconnu_ J'avais des empêchements. Je devais partir un week-end à l'étranger.

A l'étranger?

Eliana_ Pour quelles raisons?

Inconnu_ Je t'en parlerais un jour, ne t'en fait pas.

Me cacherait-il des choses? A-t-il une copine? Est-il sincère?

Inconnu_ Ne m'en veut pas .. Je n'aime pas en parler.

Inconnu_ Eliana.

Le fait qu'il écrit mon prénom de cette manière me fit frissonner. Je ne voulais pas répondre, mais je pouvais le comprendre. Moi aussi si j'avais des raisons importantes je ne lui en aurait pas parler, il n'était qu'un Inconnu..

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Voilà la partie 5.

Je tiens énormément à m'excuser du retard, mais entre les cours et tout ça, ce n'est pas facile. En espérant que ça vous a plu. Et donnez moi vos avis, s'il vous plaît...

La suite sera bientôt en ligne, ne vous en faites pas.

Ophélie,xx.