Partie 17

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Quelques mois après leurs mariage Nisrine avait bien repris le travail et au bureau rien n'aller plus pour Nisrine, depuis qu'elle avait repris elle était de plus en plus anxieuse, monsieur Owen ne cessait de lui tourné autour et de la saturé de travail, à la maison elle était constamment sur son ordinateur et même jusqu'à tard dans la nuit, et ça Zayn ne le savais pas vu qu'elle travailler dans sa chambre à elle. 

Aujourd'hui Monsieur Owen l'a convoqué dans son bureau comme souvent en ce moment, mais ça Nisrine en avais pris l'habitude même si elle se méfié toujours autant de lui, mais était elle assez vigilante ? Pas cette après midi en tout cas. Owen avais déjà tout prévu, il voulait la terrifié il voulait qu'elle ait peur, comme si la pauvre petite n'avais déjà pas assez peur de lui et des hommes comme ça, il préféra en rajouté une couche, et pour ça il utilisa la même ruse que d'habitude, "les dossiers".

Après quelques minutes d'attente dans le bureau de son patron pour rectifier les dossiers rendu par mademoiselle Mikit, Nisrine n'en pouvais plus elle voulais sortir d'ici et vite, elle ne savait pas à quoi s'attendre. Elle sentais le regard pervers de son patron glisser sur elle, chose qu'elle détesté, en même temps qu'elle femmes se laisserais observer ainsi ? 

Il lui demanda de disposer et Nisrine fut soulager, elle quitta alors son siège et s'apprêta à sortir lorsqu'elle senti une présence dans son dos, il était proche trop proche d'elle à son goût. L'homme se saisi de la jeune turque et la plaque fortement contre le mur juste à côté de la porte qu'elle allait atteindre s'il ne l'avais pas attrapé. 

Puis il sortie une petite clé de la poche de sa veste de tailleur et ferma à double tour. 

Nisrine été prise de panique, elle était tétanisé complètement affoler par ce qui allait se passer car elle savait ce qui suivrais, elle priais intérieurement pour qu'il la laisse s'en allé pour qu'il la lâche et qu'il ne la touche pas de ses mains grossière comme il le faisait en les laissant glisser le long de ses cuisses à moitié couvertes par sa jupe noir. Elle commencer à tremblé de peur et bientôt à pleurer ne supportant pas ce que son patron lui faisais subir à cet instant précis. Elle fut ensuite prise de dégoût quant il embrassa son cou de ses lèvres humides et gercées, il laissa des traînés de baisers sur tout le cou de la jeune femme qui le supplié d'arrêté, mais il n'en avais pas fini, il laissa traîné ses mains un peu partout sur le corps de Nisrine et dégrafa les boutons du chemisier de la jeune femme pour pressé sa poitrine. Une des mains de monsieur Owen se ddirigea ensuite sous sa jupe pour la passé sur le sous vêtement de Nisrine qui se débatter de plus en plus ne voulant surtout pas qu'il aille jusqu'au bout de son action. Il caressa légèrement l'intimité de Nisrine qui voulait que tout ça se termine au plus vite et qu'il la lâche, s'en était trop pour elle, elle avais déjà assez perdue de son honneur et elle n'en pouvais plus, elle voulait qu'il la laisse partir le maudissant intérieurement et jurant envers elle même d'être resté travaillé dans se bureau pour un homme qui n'en vaut pas la peine. A sa plus grande surprise, l'homme s'arrêta net et la laissa à tombé à terre, elle se releva et comme si de rien n'était il lui ouvrit la porte puis la jeta de son bureau avant de lui dire qu'aucun homme ne voudrais d'elle puis il referma la porte derrière elle. 

La jeune femme couru à travers lescouloirs pour se rendre aux toilettes pour femmes et s'y enfermé à double tour. 

Pendant plus de 10 bonnes minutes elle s'était laisser allé en pleurant sur ce qui venais de lui arrivé, elle n'aurait jamais pensé que cela puisse lui arrivé à elle, une fille aussi bien élevé, pourtant pas provoquante ni vulgaire dans sa façon de s'habiller de parlé de marché, elle avais retenue la phrase que lui avais balancé son connard de patron : aucun homme ne voudra d'elle. 

Elle c'était faite humilié, elle avais pratiquement perdu son honneur et été encore plus terrifié par les hommes maintenant. Elle se disait même qu'elle aurait préféré que ce soit Zayn plutôt qu'un homme dans son genre, la pauvre jeune femme était dégoûté complètement apeuré, et il n'était pas question qu'elle en parle à qui que ce soit de ça aussi, encore moins à sa famille et à Zayn. 

Qu'allait elle pouvoir faire, rien absolument rien elle venait de se faire anéantir et pas que physiquement mais aussi mentalement par la dernière phrase de son patron, déjà qu'elle n'avait pas beaucoup de confiance en elle et qu'elle se disait que Zayn là détesté mais alors là. 

Elleavais aussi passé un moment à essayer de rattraper le carnage que ses larmes avaient produites en dévalant ses joux et en abîment le léger maquillage de la secrétaire. Elle avait découpé des petits morceaux de papiers et les avaient mouillé pour essuyé le noir qui avait couler sous ses yeux. C'était déjà un peu mieux comme ça se disait elle mais elle avait encore les yeux légèrement rouge et gonflé à cause de tout ce qu'elle venais de pleurer. 

Quand elleregarda l'heure à sa montre qui lui indiquer 17h45 elle s'arrangea une dernière fois et souffla un bon coup avant de repartir dans son bureau. 

Dehors, Zayn l'attendais devant le bâtiment depuis un court instant, terminant le travail bien avant sa femme qu'il vient récupérer tout les soirs à 18h00. Comme à son habitude il s'allume une cigarette qu'il fume le temps que Nisrine n'arrive. Cette fois ci, il était resté dans la voiture, Nisrine venais tout juste d'arriver et Zayn avais ouvert la portière de sa place laissant sa femme monté et s'attacher, il pouvais ensuite démarré tout en continuant de fumé direction la maison. 

Sur le chemin il avais bien remarquer que quelque chose n'allait pas du côté de Nisrine, mais il ne savait pas quoi exactement, s'abstenant de lui posé la question aillant peur qu'elle remarques qu'il s'en fasse pour elle. Une fois encore sa raison l'emporta. Mais c'est une fois arrivé chez eux que Zayn demanda à la jeune femme si tout allait bien pour elle alors qu'elle venais de monté dans la salle de bain afin de se frotter et se débarrasser de cette "crasse" que lui avais laisser son patron. 

Zayn ne c'était pas gêné pour entrer dans la pièce les mains dans les poches, ce gêné Nisrine au plus haut point, elle qui était encore vêtu de ses sous vêtements qu'elle s'apprêtait à enlevé. Ils restèrent un instant à se regardé l'un l'autre, elle tentant de se cacher du mieux qu'elle pouvais ayant oublié de prendre une serviette de bain propre dans sa précipitation et lui la regardant à moitié nue, c'était bien la première fois qu'ils se retrouvaient dans une telle situation, Nisrine été rouge de honte, quant à Zayn il en avais vu d'autres et il se disait que ça n'étais pas elle qui le mettrais mal à l'aise bien qu'en tant qu'homme il apprécié ce qu'il voyais, mais pour lui elle resté celle qui l'avais privé de ses rêves. 

Il passa vite à autre chose en lui posant sa question. 

Zayn : ça va, t'avais pas l'air bien tout à l'heure. 

Nisrine baissa automatiquement les yeux pour regarder le carrelage qui devint subitement très intéressant. Mais elle se devait de répondre, quoi elle n'en savais rien mais elle ne devais pas lui parlé de ce qu'il c'était passé dans le bureau de son patron un peu plus tôt, alors elle décida de sortir un mensonge inventé de toute pièce. 

Nisrine : c'est à cause de ma.. grand mère, elle m'a appelé tout à l'heure et m'a annoncé que... heu.. que mon grand père venais de décédé... 

Zayn : ah.. désolé alors. 

Elle ne répondit rien, puis Zayn décida ensuite de quitter la pièce en refermant la porte. 

Nisrine pu enfin soufflé et finir de se déshabiller pour ensuite se jeter sous l'eau chaude et se frotter énergétiquement pour faire disparaître tout ça, tout ce que lui avait laissé son patron, ses lèvres dans son cou, ses mains sur ses cuisses et sa poitrine, son souffle malodorant sur son visage.. elle se frottait jusqu'à en devenir rouge, elle voulais se sentir la moins sale possible et faire disparaître toute traces d'humilité et de déshonneur de sur son corps. 

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