Partie 18

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Aujourd'hui elle ne comptais pas allé travailler et surtout pas après ce qu'il c'était passé hier dans le bureau de son patron, jamais elle ne pourrais remette les pieds dans cet endroit, mais qu'allait t-elle pouvoir dire à ses proches, à Zayn si elle n'y allez plus ? Elle ne pourrai pas leurs mentir bien longtemps c'était sûr mais elle ne se voyait pas tout leurs dire en face. En attendant ce matin Nisrine c'était rendu chez son médecin de famille pour qu'il lui prescrive une ordonnance. Elle avais bien sûr pris soin de prévenir son époux qui ne partais travailler qu'à partir de 14h00.  

Elle avais dû mentir au médecin lui demandant de la mettre en arrêt pour au moins deux semaines, le temps de trouver une solution à comment tout dire ou tout avoué à Zayn car elle se voyait très mal aller porté plainte ou encore aller raconté ce qui lui était arrivé la veille, elle se disait qu'elle aurait beaucoup trop peur et qu'elle aurait honte de tout dire à ses parents, alors la meilleure personne resté malgré elle son mari. Mais elle ne lui dirais pas maintenant, non aujourd'hui serais un jour comme un autre pour le jeune couple sauf que la jeune femme resté à la maison. 

De son côté Zayn qui s'apprêtait à partir travailler jeta un dernier coup d'oeil à sa femme qui, assise sur le canapé confortablement installé lisé un de ses livres dont elle ne se passais pas. Il pris ses clés et enfila sa veste en cuir. 

A peine avait il franchi le pas de la porte que Nisrine, après avoir longuement hésité lui couru après pour le rattraper alors qu'ils se trouvaient tout les deux devant la porte d'entrée.  

Nisrine : j'aurais besoin que tu face un saut au supermarché après le travail si.. si ça ne te dérange pas, je voudrais faire une tarte aux pommes. 

Zayn avais soupirer à la demande de sa femme. 

Zayn : ok, tu m'enverras un message pour me dire ce dont tu as besoin, je te l'apporterait.

Sur ses derniers mots il s'était assuré que la jeune femme rentre bien à l'intérieur et qu'elle ferme la porte derrière elle, puis il pouvais tranquillement se rendre au boulot. 

En se garant devant le garage dans lequel il travaille, il vit la voiture de son meilleur ami garé elle aussi un peut plus loin. Apparemment Liam était déjà arrivé, comme d'habitude, se dit le jeune homme. 

En arrivant dans le garage il parti salué Vlad son employeur pour qui il travaillait depuis quatre ans maintenant. Il se rendit dans l'atelier pour y prendre les quelques outils dont il avait besoin pour finir de réparé les freins de la voiture d'un client avec l'aide de son nouveau collège Sean 19 ans. Ils s'occupent ensemble de la même voiture. 

Après s'être mis au boulot avec le petit nouveau que Vlad lui avait mis sous l'aile Zayn fut légèrement déconcentré par les ragots qu'étaient entrein de raconté son meilleur ami et son patron. 

Zayn : oh les filles, vous avez fini de faire les pipelettes à vous racontez vos vies et celles des autres ? 

Vlad : haha, travail toi ! 

Se moque le patron du pakistanais. 

Zayn : pire que des filles. 

Son employeur avait très bien entendu sa petite remarque et il ne s'était pas privé pour lui demander comment allé sa femme sachant pertinemment qu'il n'aimais pas qu'on le tanne avec ça, ce qui faisais plutôt rire le patron d'une trentaine d'années. 

Zayn préféra ne pas répondre et son patron connaissais son histoire, il le taquiner, mais quelque part, Zayn ne voulais pas que l'on parle d'elle. 

Après avoir durement bossé toute la journée, Zayn pouvais enfin quitter le garage pour rentrer chez lui, mais il se souvint soudainement de la demande de sa femme, il fallait encore qu'il passe prendre les quelques courses qu'elle c'était risqué à lui demander avant de partir. 

Il souffla intérieurement en réfléchissant, il n'avais pas vraiment le choix, il allait quand même lui faire les courses dont elle avais besoin. 

Une fois sa petite course faite il pouvais enfin rentré à son domicile. La nuit ne tarda pas à tombé lorsqu'il poussa la porte de la maison. Il déposa le paquet de courses qui contenait des pommes de la farine et des oeufs sur la table de la cuisine. Il scanna la pièce du regard et pu apercevoir le repas prêt et chaud qui n'attendais qu'à être servis. Il retira son blouson et s'avança jusque dans le salon où il trouva sa femme avec le fix en mains. Elle se retourna d'un seul coup vers son mari quand elle le vis un peu soulager, qu'il soit enfin rentré. 

Nisrine : tu ne rentre que maintenant ? J'allais t'appeler, je commencé à m'inquièter. 

Zayn : il y avais du monde au supermarché. 

Nisrine : oh... 

Elle s'empressa de se rendre à la cuisine et passa juste à côté de Zayn qui n'échappais pas à l'odeur du parfum fruité de la jeune femme qui lui plaisait tant, il l'a suivis du regard la regardant se précipiter vers la cuisine, sans doute pour allé voir les courses que lui avais fait son mari.

A table et comme tout les soirs c'était le calme plat, aucun d'eux ne se parlé excepté si c'était pour que l'un passe le sel ou le poivre à l'autre mais il n'y avait pas vraiment de dialogue entre eux, ce qu'aurait voulu Nisrine. Après le délicieux repas qu'avait préparer la jeune femme, elle débarrassa la table et ça elle le faisait seule pendant que son mari allé fumé sa cigarette dans le jardin. 

Nisrine avait pris une petite habitude depuis qu'elle avait emménagé dans cette maison, elle avais pris l'habitude d'aller s'asseoir dans la véranda tout les vendredis soirs et aimé lire un livre ou regardé des documentaires parlant de la nature, elle aimait vraiment ça et il n'y avait qu'avec ça qu'elle pouvais s'évader, à travers la littérature et la nature qu'elle trouve si belle. Absorbé par sa lecture du soir elle n'avais pas remarqué que son jeune mari l'observer depuis l'encadrement de la porte qui séparé la véranda à celle du salon. Il l'a trouvé vraiment belle, ses longs longs cheveux déposé sur son épaule droite légèrement emmêlés, son regard clair lisant chaque mots chaque lignes avec attention, son air absent quand elle lis, son visage basané mais plutôt pâle ces temps ci, d'ailleurs il se posé des questions, il savait très bien que quelque chose n'allait pas et malgré tout il ne lui posé pas la question, on pourrait penser qu'il n'en avait pas grand chose à fiche mais au contraire, il s'en faisait un peu pour sa femme. Et puis même, il avais promis à ses beaux parents de prendre soin de leur fille. 

Il s'avança jusqu'à la jeune femme qui leva la tête quand elle s'aperçut que l'ombre de son mari lui cachait légèrement les pages qu'elle était entrein de lire.

Zayn : te couche pas trop tatd.

Nisrine : oui. 

Zayn : bonne nuit. 

Nisrine : merci, à toi aussi.. 

Il lui tourna la dos et se rendit à l'étage pour enfin pouvoir se reposer de sa journée et ne plus voir sa femme. Ce qu'il détesté le plus, c'était qu'elle fasse toutes ces choses pour lui, qu'elle le remercie lui faisais monté les nerfs, il ne supporter pas toutes les petites attentions qu'elle avait à son égard, elle voulais se montrer gentille envers le pakistanais mais lui ne le voyait pas du même oeil, mais il savait très bien au fond de lui tout ce qu'il ressentais pour Nisrine, d'ailleurs les derniers mots qu'il avait employés avait réchauffé le coeur de la jeune iranienne, qui avait laissé un petit sourire se former en coin de ses jolies petites lèvres. 









Hola!!! Voilà pour cette 18 ème partie !!! J'espère que tout ça vous plaiera !

N'hésitez pas à laisser vos petits commentaires !! Xxx 

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