Chapitre 1

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PDV De Jeon Jungkook :
5ans auparavant:

Tututut~tutututut~tutututut~

Un bruit sonore que je connaissais trop bien venait de se percuter à mes tympans. J'émis un grognement de non satisfaction.
Après ça, comme un rituel de mon matin, je pris mon réveil puis le balançais avec rage à l'autre bout de ma luxueuse, magnifique et grande chambre. Oui ma chambre se résumait qu'à trois petits et pauvres mots. Alors que moi aucun mots ne pouvaient me décrire ni m'aller aussi bien que la "perfection". Encore "perfection" est un piètre mot comparé à ma personne. Je l'utilise seulement parce qu'il faut bien me qualifier devant les autres. Sinon rien de plus.

A part cela mis de côté je m'étirai comme un félin qui venait de se lever dans ses beaux draps merveilleusement doux.

Je me levais résigné à mon destin.
Je lachais un soupire d'exaspération avant de me rendre enfin compte de la présence qui se trouvait à mes côtés.

Une femme se trouvait nue, étendu et cajolée entre mes draps. Elle se réveilla soudain à cause des rayons de lumières dégagé par le soleil. Ces rayons se faufilaient entre les rideaux d'une douceur aimable. Elle émit des gémissements incompréhensible qui me fis froncer les sourcils.

Mon visage restait comme de marbre puis ne faisant plus attention à elle je me préoccupais sur ma tenu d'école, toujours disposée au même endroit normalement. Mais elle n'y était pas. Je serrais de colère mes poings qui peut-être supposons allaient commettre un crime contre un(e) domestique qui n'est pas foutu de mettre un uniforme au même endroit.

Levant un sourcil avec incompréhension je me mis à appeler une domestique qui arriva aussitôt. Elle s'emprêcha de s'incliner devant mes yeux se voulant impassible. Je lui dis d'un ton très calme.

Moi : Chère demoiselle est ce vous qui est mis mon uniforme sur cette chaise?

Domestique : Ou-o-oui jeune maître. Bafouait elle.

Je fis un sourire, puis pris un air démoniaque et lui répondis.

Moi : Vous êtes viré.

Je pris mon uniforme avec rage et lui jetais à la figure.
Elle pris un air surpris et humilié.
Je pouvais apercevoir son visage décomposé par mon acte intransigeable. Elle avait les larmes aux yeux mais elle se forçait à me dire pourquoi est ce que je la virais. Je repris mon calme puis lui expliquais enfin.

Moi : Pourquoi j'ai pris la décision de vous virer? Vous me le demandez sérieusement ? A quoi est ce que vous pensez en mettant mon uniforme sur cette chaise près de la table? Expliquez moi?

Domestique : je euhm...

Ne la voyant toujours pas s'expliquer je pris la peine de lui avouer pourquoi je me devais de la virer.

Moi : Je vous signal que mon uniforme doit être vers la chaise près de la fenêtre à côter de mon lit. La chaise doit aussi être tourner de 70 degrés par rapport à mon lit. Il doit y avoir une certaine distance de 69 mètres et 02 cm , pas plus. Mon uniforme je dois le retrouver plié d'une certaine façon. Et pas comme vous, vous l'aviez fait. Et est ce que vous êtes aveugle? Vous voyez les plis sur mon uniforme? Vous voulez que j'ai honte en portant cet uniforme ayant deux plis. Si je porte cet défroque c'est la honte assuré. Et ce sera à cause de vous si la honte me hantera. Serait vous prête à
encaisser ma fureur? Ou dois-je vous rappelez les plusieurs erreurs que vous avez commit en une seule matinée?

You're MineOù les histoires vivent. Découvrez maintenant